D'ou viennent les SANDOZ?
De Neufchatel en Suisse. La ville de Neufchâtel se situe à l'ouest de la Suisse, à environ vingt kilomètres à vol d'oiseau de la frontière Française. Elle se trouve sur la rive gauche du lac de Neufchatel, dans sa partie septentrionale.
Une amie, excellente Antiquaire en Joaillerie de la rue Saint Honoré à Paris (Bijoux Miller), me posa une colle en m'adressant une série de photos d'un bijou qu'elle avait acheté.
De Neufchatel en Suisse. La ville de Neufchâtel se situe à l'ouest de la Suisse, à environ vingt kilomètres à vol d'oiseau de la frontière Française. Elle se trouve sur la rive gauche du lac de Neufchatel, dans sa partie septentrionale.
Une amie, excellente Antiquaire en Joaillerie de la rue Saint Honoré à Paris (Bijoux Miller), me posa une colle en m'adressant une série de photos d'un bijou qu'elle avait acheté.
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Sur l'écrin, "Henri Sandoz" anciennement Palais Royal, 24 avenue de l'opéra Paris.
Sandoz au Palais Royal, je connaissais, mais Henri? Encore moins 24 avenue de l'opéra!
A lire ce journal de 1780, on pourrait penser que des Sandoz horlogers français, étaient déjà en exercice, non! ce n'est qu'un des Sandoz Horlogers.
Il y a aussi beaucoup de Sandoz horlogers en Suisse et très célèbres et de plus avec les mêmes prénoms.
Cette montre signée sur le Cadran par "Sandoz l'aine" à Paris correspondrait au Sandoz de la rue Gît-le -Coeur, mais apparemment ce n'est pas de la même famille.
Le seul moyen d'éviter les erreurs ou confusions est de reprendre la généalogie de cette dynastie, partir de Gerard Sandoz , remonter dans le temps et redescendre en vérifiant les descendants.
Les Sandoz qui nous intéressent remontent à David Louis Sandoz 1735-1770, installé en Suisse et le fils de Louis sera Horloger, il se nomme Henry Aimé Sandoz 1768-1811.
Henry est de nationalité Suisse , mais fit un détour pour travailler à Amsterdam et y épouser Louise Koeller en 1791. Il vint travailler à la manufacture de Versailles en 1796, il avait 28 ans.
En 1801, l'état lui devait encore ses appointements. Il s'installa à Paris rue de la Draperie et fit du repassage*, et des rouages pour Abraham Louis Bréguet
Il aura un fils Charles Auguste Sandoz né en 1800.
Il sera horloger
*le repassage en horlogerie, c'est le contrôle ultime et complet, mécanique et esthétique, d'une montre emboîtée juste avant qu'elle ne sorte des ateliers de production..
annuaire des commerçants et artisans
Charles Auguste SANDOZ a déposé une demande de brevet d'invention de 15 ans, le 09 octobre 1844 à la préfecture de la Seine, pour un scarificateur simplifié et perfectionné qu'il nomme "scarificateur Blatin".
extrait de l'ordonnance royale n° 12.087 du 18 juin 1845.
Une époque ou les horlogers étaient des "scavans", ils exerçaient une activité de haute précision, relancée par les nouveaux matériaux et les technologies de pointe, et ce, à toutes les époques, leurs connaissances étaient vastes aussi bien en mécanique qu'en astronomie.
L'horlogerie connaît son essor grâce à la création des pendules. Grâce à Galilée et son étude sur les systèmes oscillants qui composent tout pendule. De plus, la création du ressort à spirale par Huygens en 1675, a permis aux horlogers d'atteindre leur apogée. Ce système implique la création des " micro pendules ", qui seront appelés : La montre.
Une trace, une montre dont le fond est gravé à son nom en 1864.
Charles Auguste Sandoz s'installa au Palais Royal
Il reste au moins un magasin de cette époque au Palais Royal qui nous donne une idée de la décoration du temps de Charles Auguste Sandoz. Le restaurant, "Le Grand Vefour" En 1820, à l’initiative de son nouveau propriétaire, Jean Véfour, le café devient un restaurant somptueux et le meilleur endroit gastronomique de Paris ; son nom est changé en « Véfour ». Pendant près d’un siècle, le restaurant est le rendez-vous du Tout Paris politique et artistique.
Pour les anciens, le Grand Véfour c'était Raymond Oliver,propriétaire et chef du Grand Véfour, véritable institution et longtemps 3 étoiles au guide Michelin. Raymond Oliver est devenu célèbre pour avoir créé en 1953 (j'avais 12 ans en 1954 quand mes parents achetèrent la télévision) la première émission de télévision consacrée à la cuisine, Art et magie de la cuisine qu'il a animée pendant 14 ans en compagnie de Catherine Langeais.
Une chance me fit découvrir la Généalogie de Françoise Benjamine Lauriol Laffay, et je pris connaissance des enfants de Charles Auguste.
Jacques Gustave Sandoz Horloger et bijoutier du Palais royal avait un frère, Gustave Henri .
Madame Françoise Benjamine Lauriol Laffay me fit parvenir copie de l acte de décès de Charles Auguste, il était décédé chez son fils Henri, 11 rue de Valois. Gustave Sandoz 21 rue de Valois, signa l' acte de décès avec son frère.
La rue de Valois qu'il connut particulièrement puisqu'il était venu s'installer au 1 place Dauphine, puis dans les Galeries du palais royal avec son fils Gustave.
Chronomètre fabriqué par Charles Auguste Sandoz
Charles Auguste est au 1 place Dauphine, ses spécialités horlogères sont précises.
La place Dauphine se trouvait au bout de l' ile Saint Louis derrière ces immeubles de la même époque, mais Viollet le Duc est passé par là
La revue Chronométrique publia la nécrologie de Charles Auguste Sandoz
Il y a un peu plus d'une année que s'éteignait doucement, dans sa 81e année, après une longue vie pleinement remplie, et entouré des soins pieux et vigilants d'une famille attristée, Charles-Auguste Sandoz.
L'un des remarquables, et aussi l'un des plus modestes, de cette forte génération d'horlogers artistes, à laquelle ont appartenu les premiers Brocot et Paul Garnier père.
Nous, qui l'avons bien connu, nous voulions retracer cette vie simple, faite de travail, de progrès cherchés, de soins donnés à l'éducation de fils devenus d'habiles horlogers, parce qu'il y avait la un exemple à donner, une justice à. rendre à un mérite resté obscur, étant resté fier et sans compromissions de dignité en vue d'obtenir les honneurs ou la fortune.
Une heureuse indiscrétion vient de nous apprendre qu'un ami de la famille, d'une plume fine, exercée, que l'amitié n'égare pas et qu'inspire seulement le sentiment du juste et du bon, vient d'écrire la biographie de C.-A. Sandoz.
Nous en sommes d'autant plus satisfait que l'écrivain élégant et correct est un des nôtres, du moins par ses ascendants, qui ont exercé l'horlogerie avec honneur durant trois siècles.
A notre demande, M. Gustave Sandoz, qui désirait garder cet écrit, retraçant la vie de son père, dans l'ombre discrète du sanctuaire de la famille, consent à le livrer à l'impression. Nous l'en remercions, surtout au nom de nos abonnés, qui liront avec intérêt cette vie d'un véritable artiste doublé d'un homme de cœur. C. SAUNIER.
Jacques-Gustave Sandoz est né le 11 Septembre, 1836 à Paris. À l'âge de treize ans, Jacques-Gustave commence un apprentissage avec l'horloger alors connu Perusset. le disctionnaire des Horlogers,Tardy le donne comme "Perrucet"
En 1855, il a remporté le grand prix de Polytechnique dont Napolèon III était le président.
Puis Gustave Sandoz a travaillé dans les ateliers de Lépine (1853 prises en charge par Boulay), Paul Garnier et Breguet avant d'ouvrir sa propre boutique de la rue de la Monnaie. Après 1861, son atelier était situé dans le Passage Sainte-Anne. Le Conservatoire des Arts et Métiers confie à Sandoz l'entretien de leurs montres et instruments. Cet emploi a largement contribué à sa réputation. En 1865, Sandoz a déménagé à la prestigieuse galerie du Palais Royal N°s 147-148, a coté de la société Boucheron et plus tard Lalique.
Il fut fabriquant d'horlogerie et de bijouterie-joaillerie Officier de la Légion d'Honneur et de l'Intruction Publique, Grand Officier de l'Ordre d'Isabelle la Catholique, Commandeur du Nicham, Président de nombreuses associations dont la Société d'encouragement à l'Art et l'Industrie, président du Comité d'Initiative des Expositions Françaises à l'étranger, etc...Il fut appelé à la préparation de l'exposition universelle de 1889
En 1882, il a remporté une de ses deuxième prix de chronomètre au concours de l'Observatoire de Genève. Un an plus tard, il a reçu une médaille d'or à Amsterdam. Sandoz a également été un important représentant de la marque de montres Vacheron & Constantin.
Gustave Sandoz 1889 était l'un des fondateurs de la SEAI (Société d'Encouragement aux Arts et à l'Industrie), rebaptisé en SEMA (Société d'Encouragement aux Métiers d'Art). Il a été nommé horloger de la marine française, décoré de la légion d honneur
Après la mort de Gustave l'entreprise a été reprise par son fils Gustave Roger Sandoz qui a déménagé 10 rue Royale . La société a été rebaptisée plus tard Gustave Roger Sandoz Fils & Successeur.
Gustave Sandoz est mort en 1891.
Poinçon de Gustave Père
En 1867 Gustave Sandoz a un fils Charles Gustave Roger Sandoz
Montre rare de Gustave Sandoz (Christie's)
Châtelaine de Gustave Sandoz, en vente par "le Lys et l'épée" chez Proantic
Mouvement de la châtelaine ci-dessus
Châtelaine marquée Gustave Sandoz, vendue par Sotheby's
Vers 1880 , d'après Antiquorum, montre en or 750/1000° , phases de la lune, Signé Gustave. Sandoz, Horloger de la Marine de l'Etat, du Palais Royal, Paris, n ° 9554, balance de compensation bimétallique, cadran en émail blanc avec chiffres romains,quatre cadrans subsidiaires indiquant les phases de la lune, la date, le jour et mois, mouvement signé, 55 mm. diam.
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Lors de l 'extraordinaire vente de la collection Sandberg par Antiquorum en 2001, nous avions découvert qu'il y avait eu une mode de montres pendentifs scarabées
Ces petites montres pendentifs en or et émail ne sont pas signées, sauf une.
La coccinelle est de Gustave Roger Sandoz, il est noté "Horloger de la Marine Impériale" 147 palais Royal, Paris. Elle est en or et en émail rouge sertie de diamants, avec un boîtier photo daté vers 1880, ce qui fait un peu tard pour l'empire français mais peut être était t il fournisseur de la marine Impériale Russe comme Breguet?
"Vendredi. Au Palais-Royal, devant la vitrine du bijoutier Sandoz, une apprentie de seize à dix-sept ans, au nez retroussé, aux « nichons » artificiellement grossis, contemple les parures avec des yeux aussi luisants que les bijoux. un vieux monsieur qui sort du bouillon Duval - lecteur de Don Fabrice, s'arrête derrière elle "Ah ! si j'étais encore riche, ce que je t'en paierais du vice, ma fille"
En 1881 dans "la revue des Arts Décoratifs" je découvre un mot, le Breloquet, j'ignorais ce mot, j'emploie toujours le mot " Châtelaine" voir ce que j'avais écrit
et un breloquet est d'après le dictionnaire un "assemblage de divers objets ou breloques sur une chaine commune"
Et pourtant quelques année plus tard, Vever nous présentera une belle Châtelaine de Becker. ci-dessous
Ce mot de Breloquet est dans le dictionnaire de l académie de 1837 et il est souvent cité par Vever. Dans le petit Journal de 1826, nom de rue, dans ouest- éclair de 1936, donc mot très employé au 19 ème siècle!!
"la montre bat la breloque" est dans le dico : Militairement. Anciennt. Batterie de tambour qui appelait les soldats aux distributions de vivres. Battre la breloque. (On disait aussi Berloque.) Par anal. Fam. Battre la breloque, présenter un mouvement désordonné, saccadé. Avoir une montre qui bat la breloque, qui fonctionne irrégulièrement.
1881
Nous
avons déjà eu l'occasion de signaler dans notre précédent numéro
quelques-uns des objets exceptionnels en orfèvrerie ou en bijouterie
qui viennent d'être termines et que nous avons pu voir dans les
ateliers de nos principaux fabricants. Nous mentionnerons aujourd'hui
un breloquet renaissance de M. Sandoz, l'habile bijoutier.Toutes
les parties ornementales qui composent ce breloquet sont en or
ciselé. Le ruban dont les plis si harmonieux couronnent le médaillon
central est en vieil argent ciselé, ainsi que le masque qui sert à
retenir la montre. Nous ferons remarquer l'expression de cette partie
de l'oeuvre qui offre par l'originalité de son dessin une
opposition hardie, voulue et trouvée au motif renfermé dans le
médaillon du centre représentant la Musique, en émail de Limoges
peint en grisaille sur fond noir. Par ce jeu de couleur cl do métal
ce sujet se détache vigoureusement des ornements qui l'entourent et
en fout ressortir toute la grâce et la légèreté.La
montre dont nous ne pouvons reproduire que le fonds est en or poli,
les ornements qui courent sur toute la surface sont gravés et
émaillés noir. La chimère qui occupe le centre et qui semble
s'attacher aux ornements du fond est en vieil argent ciselé et en
relief sur le tout.
Montre Suisse pendentif en émail rouge n ° 9766, vendue au détail par Gustave Sandoz, Horloger de la Marine, Palais Royal 146, 147, 148, Paris.fabriquée avant 1891. or et diamants.
Vendue au détail par Gustave Sandoz, Palais Royal 147-148, Paris, conçue spécialement pour l' "Exposition Universelle de Paris" en 1889.rare, or 750/1000° 18 ct. montre-bracelet de dame, diamants, avec bracelet en or orné de deux cariatides sculptées figurant les pattes.fabriquée par Vacheron et Constantin, n ° 170524
Apparemment fabriquée pour être vendue à l exposition de 1889 par Gustave, cette Châtelaine ou Breloquet est de petite qualité, il était au Palais Royal, était-ce du commerce pour faire du chiffre et arrondir ses fins de mois?
Pommeau de canne en argent et pierres fines signée Gustave Sandoz site hermann-historica.de
Montre de Gustave Sandoz
La Société d'encouragement à l’art et à l’industrie (SEAI) est fondée en 1889 par gustave Larroumet, directeur de l'école des beaux arts et Gustave Sandoz, célèbre bijoutier parisien fondateur du Comité français des expositions. Elle est reconnue comme établissement d'utilité publique (Décret du 21 janvier 1905), son but étant :
« Le développement des arts appliquée à la décoration et à l’industrie par la collaboration de l’Etat et des initiatives privées, et le renouvellement des modèles des industries d’art par la coopération rationnelle de l’artiste, de l'industriel, de l’éditeur, de l’artisan, de l’ouvrier d’art. »
Bulletin
des syndicats 04-1885
M. le Président expose ensuite que depuis 2 ans M. Sandoz a figuré dans le bureau de la chambre comme secrétaire honoraire. La chambre avait décidé il y a 2 ans de le présenter en cette qualité à l'assemblée générale, mais par suite d'erreurs cette proposition n'a jamais été faite. M. le Président demande à la réunion de ratifier cette nomination.Plusieurs
membres font remarquer qu'il est difficile de nommer M. Sandoz
secrétaire honoraire quand M. Brown, qui a été longtemps
vice-président, vient d'être nommé simple membre honoraire. M.
Rodanet fait observer qu'il faut d'abord voter au sujet de M. Sandoz
et que l'on pourra ensuite, si la proposition en est faite, nommer M.
Brown vice-président honoraire.Par 16 voix contre 14, M. Sandoz est nommé secrétaire honoraire. Le titre de vice-président honoraire est ensuite accordé à M. Brown.
M. Lefèvre fait observer qu'il ne faut pas abuser de l'honorariat surtout avec les qualifications de président, vice-président et secrétaire. M. Rodanet déclare qu'il entre absolument dans ces vues et qu'il portera la question de modification des statuts en ce qui touche l'honorariat à l'ordre du jour de la prochaine réunion de la Chambre.
En 1889 Naturalisation de Jacques Gustave Sandoz
Naturalisation (bulletin des Lois)
Décret 33,155 qui naturalise français par application de l'article -8 ,n°2 du code civil
158° Le Sieur Sandoz(Jacques -Gustave), horloger , né le 11 septembre 1836,d'un père suisse , à .Paris , y demeurant.
159°La demoiselle Sandoz (Jeanne -Elisabeth), née le 26janvier 1870 à Paris; y demeurant Paris , 10 décembre 1889
Rue du Point du Jour à Boulogne Billancourt
Il existait de temps immémorial un chemin venant d’ Auteuil qui, passant par le fief Baudoin et la ferme de Billancourt, allait atteindre la Seine à la hauteur de l’ancien pont de Sèvres. Ce chemin était vraisemblablement aussi ancien que la Ferme, donc très antérieur au pont de 1684. Il subsista tel quel, touchant à la Route de Versailles par ses deux extrémités, jusqu’au jour où la société de Gourcuff, après avoir acquis la ferme de Billancourt en 1825, traça de nouvelles voies en supprimant la partie médiane du chemin ci-dessus qui traversait son domaine. Le tronçon terminal subsista qui prit le nom de rue du Hameau et fut plus tard accaparé par la société Renault. En 1860, Billancourt fut annexé à Boulogne. Pour éviter une confusion avec une autre voie, le chemin fut baptisé en 1863: Rue du Point du Jour. Dans Paris, il conserva le nom de rue de Billancourt jusqu’au jour où on lui donna le nom du musicien Claude Terrasse.
La partie entre la place Nationale et la Rue de l’Ile, qui était une voie privée, fut aménagée par un syndicat de propriétaires que dirigeaient MM. Gustave Sandoz et Damiens. Sandoz était un joaillier très connu. Le maire Liot accepta en 1891 de donner son nom à cette partie de la rue, mais son successeur fit enlever les plaques. Le conseil municipal décida de classer la rue le 30 mai 1905, et lui rendit le nom de Gustave Sandoz. Le préfet approuva le 14 septembre 1905.
Dans cette rue avait pris naissance la Société Renault qui y eut longtemps son siège. Ayant acquis toutes les propriétés riveraines; elle ferma la rue Gustave Sandoz, en obtint la concession en 1920 et la vente en 1928.
Pendulette Gustave Sandoz, Paris, n ° 9048.Fabriquée aux alentours de 1890. Très belle et très inhabituelle, quoiqu'un peu chargée, miniature, laiton doré style naturaliste, pendule 8 jours.
Décret 33,155 qui naturalise français par application de l'article -8 ,n°2 du code civil
158° Le Sieur Sandoz(Jacques -Gustave), horloger , né le 11 septembre 1836,d'un père suisse , à .Paris , y demeurant.
159°La demoiselle Sandoz (Jeanne -Elisabeth), née le 26janvier 1870 à Paris; y demeurant Paris , 10 décembre 1889
Rue du Point du Jour à Boulogne Billancourt
Il existait de temps immémorial un chemin venant d’ Auteuil qui, passant par le fief Baudoin et la ferme de Billancourt, allait atteindre la Seine à la hauteur de l’ancien pont de Sèvres. Ce chemin était vraisemblablement aussi ancien que la Ferme, donc très antérieur au pont de 1684. Il subsista tel quel, touchant à la Route de Versailles par ses deux extrémités, jusqu’au jour où la société de Gourcuff, après avoir acquis la ferme de Billancourt en 1825, traça de nouvelles voies en supprimant la partie médiane du chemin ci-dessus qui traversait son domaine. Le tronçon terminal subsista qui prit le nom de rue du Hameau et fut plus tard accaparé par la société Renault. En 1860, Billancourt fut annexé à Boulogne. Pour éviter une confusion avec une autre voie, le chemin fut baptisé en 1863: Rue du Point du Jour. Dans Paris, il conserva le nom de rue de Billancourt jusqu’au jour où on lui donna le nom du musicien Claude Terrasse.
La partie entre la place Nationale et la Rue de l’Ile, qui était une voie privée, fut aménagée par un syndicat de propriétaires que dirigeaient MM. Gustave Sandoz et Damiens. Sandoz était un joaillier très connu. Le maire Liot accepta en 1891 de donner son nom à cette partie de la rue, mais son successeur fit enlever les plaques. Le conseil municipal décida de classer la rue le 30 mai 1905, et lui rendit le nom de Gustave Sandoz. Le préfet approuva le 14 septembre 1905.
Dans cette rue avait pris naissance la Société Renault qui y eut longtemps son siège. Ayant acquis toutes les propriétés riveraines; elle ferma la rue Gustave Sandoz, en obtint la concession en 1920 et la vente en 1928.
Montre vendue par Bonham's comme étant de Gustave Sandoz
Jules Jurgensen, Copenhague, n ° 12767, fait pour Gustave Sandoz, agent de Jurgensen au Palais Royal , Paris, vers 1890. Or fin 18 carats la chasse minute tubé, montre à répétition. vente Antiquorum.
Jules Jurgensen travailla aussi pour Abraham Louis Bréguet à Paris, puis à Londres chez Arnold, il revint à Paris rue de l échelle en 1850.en 1860 il est rue croix des petits champs, puis à Copenhague. C'est alors que Sandoz fut son représentant à Paris, galerie de Valois de 1870 à 1880. En 1865, il fit breveter un système de remontoir et de mise à l heure des montres.
Jules Jurgensen travailla aussi pour Abraham Louis Bréguet à Paris, puis à Londres chez Arnold, il revint à Paris rue de l échelle en 1850.en 1860 il est rue croix des petits champs, puis à Copenhague. C'est alors que Sandoz fut son représentant à Paris, galerie de Valois de 1870 à 1880. En 1865, il fit breveter un système de remontoir et de mise à l heure des montres.
Gustave Sandoz. Cinq minutes Répétition Montre Gustave Sandoz, Horloger de la Marine, Palais Royal, 147-148, Paris, n ° 6523, le mouvement fourni par Le Coultre & Cie réalisé vers 1880. F, or rose 750/1000, montre de poche sans clé. vente Antiquorum.
Que dit Vever de Gustave Sandoz?
Encouragé par la réussite de ses affaires, il entreprit également la bijouterie et la joaillerie, restant toujours fidèle à l'horlogerie, à laquelle il ne cessa de s'intéresser particulièrement ; il fit partie de la Chambre syndicale de l'horlogerie et contribua avec Rodanet à la création de l'École d'Horlogerie. C'est comme horloger qu'il s'occupa avec ardeur de l'organisation des grandes Expositions, comme membre des comités d'admission, ou du jury; il y participa aussi très honorablement en qualité d'exposant.Le soin des intérêts de sa maison ne suffisait pas à son activité infatigable; il fonda de nombreuses sociétés d'intérêt général dont il fut le Président : la Société d'encouragement à l'Art et à l'industrie; "la Société d'économie industrielle et commerciale" ; le Comité français des Expositions à l'étranger, etc. Les commerçants du Palais-Royal s'étant groupés en Syndicat pour essayer de conjurer la crise qui les menaçait, choisirent Gustave Sandoz comme président, et celui-ci réussit, pendant quelque temps, à retarder la déchéance de cet emplacement autrefois si favorisé.
En 1889, il avait élaboré le projet d'une Foire de Paris, destinée à faire de notre capitale un vaste marché occidental de matières premières, analogue à la Foire de Nijni-Novogorod et à celle de Leipzig.Gustave Sandoz était un homme aimable, d'une intelligence remarquable et d'une grande puissance de travail. Naturalisé français quelques années avant sa mort, il avait reçu la rosette d'officier de la Légion d'honneur en raison des nombreux services rendus pendant sa trop courte carrière.
Que dit Vever de Gustave Sandoz?
Gustave
Sandoz , fil s d'un horloger suisse, ne voulut pas
embrasser d'autre profession que celle qui était en honneur dans sa
famille depuis plusieurs générations. Il fut guidé dans ses
premiers débuts par son père, praticien émérite, qui sut vite
reconnaître et développer ses dons naturels et le confia, à l'âge
de treize ans, à un horloger de premier ordre, Pérusset, qui acheva
son instruction chronométrique; il fut aussi plus tard l'élève de
Bréguet. Dès qu'il put travailler pour son compte, Gustave Sandoz.
s'installa dans une modeste chambre au quatrième, rue de la Monnaie,
puis, en 1861, année de son mariage, dans un petit appartement du
passage Saint-Anne.
Mais
le désir de se faire une situation et d'éviter à ses enfants les
heures dures qu'il avait connues dans sa jeunesse, le poussa à
s'établir au Palais-Royal, en 1865, malgré son père et ses maîtres
qui, imbus des vieilles traditions, regrettaient de le voir quitter
la pratique de l'horlogerie pure.Encouragé par la réussite de ses affaires, il entreprit également la bijouterie et la joaillerie, restant toujours fidèle à l'horlogerie, à laquelle il ne cessa de s'intéresser particulièrement ; il fit partie de la Chambre syndicale de l'horlogerie et contribua avec Rodanet à la création de l'École d'Horlogerie. C'est comme horloger qu'il s'occupa avec ardeur de l'organisation des grandes Expositions, comme membre des comités d'admission, ou du jury; il y participa aussi très honorablement en qualité d'exposant.Le soin des intérêts de sa maison ne suffisait pas à son activité infatigable; il fonda de nombreuses sociétés d'intérêt général dont il fut le Président : la Société d'encouragement à l'Art et à l'industrie; "la Société d'économie industrielle et commerciale" ; le Comité français des Expositions à l'étranger, etc. Les commerçants du Palais-Royal s'étant groupés en Syndicat pour essayer de conjurer la crise qui les menaçait, choisirent Gustave Sandoz comme président, et celui-ci réussit, pendant quelque temps, à retarder la déchéance de cet emplacement autrefois si favorisé.
En 1889, il avait élaboré le projet d'une Foire de Paris, destinée à faire de notre capitale un vaste marché occidental de matières premières, analogue à la Foire de Nijni-Novogorod et à celle de Leipzig.Gustave Sandoz était un homme aimable, d'une intelligence remarquable et d'une grande puissance de travail. Naturalisé français quelques années avant sa mort, il avait reçu la rosette d'officier de la Légion d'honneur en raison des nombreux services rendus pendant sa trop courte carrière.
Gustave Roger a commencé sa carriere avec son père et après sa mort, habitait toujours au Palais Royal.
La tradition en question veut que la demeure de la comtesse d'Argenton ait été reprise, au moment de son départ, par l'abbé Dubois, le futur ministre, qui y aurait logé durant plusieurs années, et qu'ensuite elle serait devenue l'hôtel de la Chancellerie d'Orléans, alors que le comte d'Argenson était titulaire de cette charge. Cet hôtel existe encore aujourd'hui, au numéro 19 de la rue des Bons-Enfants, et a conservé, au-dessus d'une de ses portes d'entrée, l'inscription en lettres d'or sur marbre noir : Chancellerie d'Orléans. Son autre façade sur la rue de Valois, avec son portique à colonnes, donnait jadis de plain-pied sur le jardin du Palais-Royal. Elle a le caractère des constructions du XVIIIe siècle. Les appartements, quoique plusieurs fois remaniés, en ont gardé le style, et le plafond du grand salon, représentant le Triomphe des Amours sur les Dieux, paraît bien être l'œuvre de Coypel, dont il est parlé dans les anciennes descriptions. L'hôtel de la Chancellerie d'Orléans, après avoir servi de magasin, sous Napoléon III, au fabricant de pianos Pape, et ensuite de bureaux au journal le Constitutionnel, a été occupé en 1881 par l'orfèvre Gustave Sandoz, qui, avec beaucoup de goût et de soin, en a entrepris la restauration et en a fait revivre les précieuses peintures que cachaient d'affreuses couches de poussière. Il appartient aujourd'hui a la baronne Thénard, qui l'a loué de 1896 à 1899 à la Société de l'Union centrale des Arts décoratifs pour l'administration de son musée. Dans une monographie agréablement écrite, luxueusement illustrée, mais non mise dans le commerce, Gustave Sandoz a donné une description détaillée de cette historique demeure : il s'est appliqué à démontrer que la tradition était authentique, et que c'est effectivement la Chancellerie d'Orléans qui avait été l'hôtel de l'aimable Séry, comtesse d'Argenton.
Tombe de Jacques Gustave Sandoz au cimetiere de Passy, je vous recommande le site de Mr Landru sur les célébrités des cimetières
Gustave Henri Sandoz frere cadet de Gustave Sandoz
1874 Mariage de Henri Sandoz avec Rosa Fontaine, Henri habitait rue du pont Neuf près de la place Dauphine. Est présent, son frère, Gustave Sandoz 147 rue de Valois
Il est intéressant de noter qu'Henri et Rosa reconnaissent légitimement le jour du mariage, leurs filles, Marthe Helene, six ans, et Lucie 4 ans .
Dans Diamants et pierres précieuses de Jannetaz
Il est noté : constructeur de pièces de précisions
Cette broche est donnée par la maison Tajan comme étant de Gustave Sandoz des années 1880
Elle est en forme de tulipe au naturel pavée de diamants taillés en rose. Monture en or rose et argent. Non signée. Poids brut : 11,8 gr (un manque) Dimensions : 5,5 x 2,4 cm
La broche est accompagnée de son écrin à la forme marqué Gve SANDOZ Galerie de Valois PARIS.
Quelque chose me chiffonne, je pense qu'elle est postérieure, elle n'est pas signée, quels sont les autres poinçons?
Les écrins Gustave Sandoz ont perduré avec son fils Roger Gustave et un écrin ne veut rien dire. Ce qui n'empeche pas la broche d'être jolie!
Publicité de 1889
Article sur les pièces exposées en 1889 pour l expo universelle
Le Palais Royal en 1889 ou est installé Sandoz
En 1891 nous voyons que Gustave Roger Sandoz a succédé à son père Gustave qui vient de déceder, rue Royale, et que son oncle Henri est toujours Galerie de Valois
Bague d'henri Sandoz
Charmante bague en vente à la Tadema Gallery , opale, rubis et rose diamant, donnée comme datant de 1900, ce qui est possible.
Ce que nous savons, c'est qu'il a quitté le Palais Royal et est venu s'installer au 24 avenue de l'opéra
Diadème vendu par Henri Sandoz
Tres belle broche fabriquée par, ou pour Henri Sandoz 24 avenue de l opéra
Montre en or jaune et platine, serties de diamants, avec de petites plaques émaillées, elle est estampillée HUSSON. le bracelet est signé Henri Sandoz 24 av de l opéra Paris. Sotheby's.
1892 le Bulletin de l Histoire de Paris rend compte de la mort de Gustave et le conseil d'administration le remplace par son fils Gustave Roger.
Dans la semaine Médicale le 29 juillet 1796, on fait part de sa découverte des pierres précieuses soumises aux rayons X
Publicité de Gustave Roger Sandoz
Le Théatre Français en 1899 qui fait partie de l ensemble du Palais Royal
Ces deux photographies de bijoux de Gustave Roger Sandoz sont dans le livre de Vever
Vever a moins connu son fils Gérard mais il a écrit ceci a propos de Gustave Roger Sandoz
Son
fils, Gustave-Roger Sandoz (1867), est le digne héritier des
éminentes qualités de son père; il lui a succédé en 1891En 1895, il transféra rue Royale ses magasins, désormais plus spécialement consacrés à la joaillerie. Il ne quitta pas le vieux Palais auquel s'était tant intéressé. son père sans avoir écrit, en collaboration avec Victor Champier, un ouvrage apprécié, le Palais - Royal, édité par la Société de propagation des Livres d'art.
Membre du jury à l'Exposition de 1900. G.-Roger Sandoz a brillamment soutenu la réputation de sa maison en exposant des pièces de joaillerie et de bijouterie très remarquées, ainsi que des objets d'art très intéressants :
Dans le Guide de l exposition de 1900
Plus je regarde cette broche, revendue par Sotheby's, de Gustave Roger Sandoz, plus je l'aime, cette fleur de Lotus qui est entourée de nénuphars, les libellulles en émail plique-a-jour, les turquoises, les diamants, classique mais gout du jour 1900, parfait......
Broche or jaune de Gustave Roger Sandoz aux environs de 1900
Dans la revue "Art Déco" en 1900
Christie's date cette broche en émail or et diamants de Roger Gustave Sandoz en 1900
Gustave Roger Sandoz collabore avec Emille Gallé, sur cette boite il se charge de la partie métal, et incruste un tour de citrines.
Avant 1900.Vase de Emile Gallé complété par une monture de Gustave Roger Sandoz en Vermeil et signée sur le pied. Grace à la Maison Christie's nous pouvons accéder à la vision de ce travail.
Cette broche décrite comme étant en argent et verres, je m'en suis étonné auprès de la conservatrice des Bijoux au Musée des Arts décoratifs , madame Evelyne Possemé, car j'avais trouvé dans la Revue de Bijouterie Joaillerie la photo ci dessous, de l'époque qui la décrivait différemment, elle me répondit rapidement et je l en remercie.
Cet ornement de corsage a été donné par la famille Sandoz en 1927 et il s'agit bien de l'ensemble présenté, avec un diadème également donné au musée, à l'exposition de 1900.
Comme souvent, lors de la donation par ces grandes maisons, les diamants et les émeraudes ont été déposées et remplacées par du strass, certainement dès après l'exposition, soit parce que l'original a été vendu et celui-ci est le modèle gardé par la maison. Soit il s'agit du modèle original qui n'a pas été vendu et sur lequel les pierres précieuses ont été rapidement remplacées par du verre.
Henri Vever a donné en 1924 sa collection de bijoux anciens avec des pièces de la maison Vever dont un ornement de corsage de l'Exposition de 1889 sans aucune pierre, juste la monture repercée pour la mise en pierre.
Les deux sont exposées dans la Galerie des Bijoux.
Cordialement
Evelyne Possémé
Cette coupe en cristal est de Emile gallé, je l'ai trouvée sur le catalogue d une vente de chez Christie'sComme souvent, lors de la donation par ces grandes maisons, les diamants et les émeraudes ont été déposées et remplacées par du strass, certainement dès après l'exposition, soit parce que l'original a été vendu et celui-ci est le modèle gardé par la maison. Soit il s'agit du modèle original qui n'a pas été vendu et sur lequel les pierres précieuses ont été rapidement remplacées par du verre.
Henri Vever a donné en 1924 sa collection de bijoux anciens avec des pièces de la maison Vever dont un ornement de corsage de l'Exposition de 1889 sans aucune pierre, juste la monture repercée pour la mise en pierre.
Les deux sont exposées dans la Galerie des Bijoux.
Cordialement
Evelyne Possémé
décrite ainsi:
Emile Gallé et GR SANDOZ vase en verre, CIRCA 1899 verre, dépoli à l'acide, avec du blanc métal montage
(13,5 cm.) haute marque gravé à l'acide Cristallerie à Emile Gallé , métal blanc gravé GR SANDOZ
Mais en cherchant dans notre merveilleuse "bibliothèque nationale", j'ai découvert une photo de 1897 publié dans la "Revue des Arts décoratifs"
Lampe Gallé, monture en Vermeil de Gustave Roger Sandoz en 1897
06-1927 dans la Revue de l art ancien et Moderne.
La
bijouterie et la joaillerie contemporaines sont en voie de complète
transformation sous les efforts de MM. Templier, Jean Fouquet, Gérard
Sandoz, Grange, Mauboussin, Paul Brandt, Greidenberg, enfin de M.
Bablet qui fait une remarquable tentative de bijoux en série.
Montre marquée Gustave Roger Sandoz au 10 rue Royale à Paris, j'ai emprunté la photo à Marclinro
La montre dans son écrin du 10 rue Royale
Dans la revue de la B.J.O. de décembre 1901
Le flacon d'agate orientale de couleur sombre et chaude, qui est garni d'ornements sobres en or, est aussi de M. Sandoz. C'est un objet pratique, d'une simplicité élégante et distinguée. Le flacon d'agate orientale de couleur sombre et chaude, qui est garni d'ornements sobres en or, est aussi de M. Sandoz. C'est un objet pratique, d'une simplicité élégante et distinguée.
N'oubliez pas de cliquer sur toutes les photos pour agrandir |
En 1908 Gustave Roger est décoré de la légion d honneur, C'est Felix Philippe Follot, son beau frère qui lui remet.
Ci-dessus et dessous états de service de Gustave Roger Sandoz
Immeuble du 24 avenue de l'Opéra
LES PERCEURS DE MURAILLES Des Cambrioleurs tentent de dévaliser une Bijouterie de l'avenue de l'Opéra.
Les deux entrées sur la rue Thérèse (A gauche, celle qui donne- sur l'escalier de service à droite, celle de l'appartement inoccupé du premier étage.)
Les perceurs de murailles auraient-ils contracté l'habitude de célébrer l'anniversaire de leurs audacieux exploits ?
L'an dernier, à pareille époque c'est-àdire le dimanche de la Pentecôte le magasin de Mme veuve Lemoine, établie sous les galeries du Palais-Royal, était dévalisée par de hardis cambrioleurs qui disparaissaient après avoir enlevé pour une centaine de mille francs de bijoux
Hier, à l'aide de moyens à peu près identiques, des malfaiteurs se sont attaqués au magasin de M. Henri Sandoz, bijoutier, 24, avenue de l'Opéra, dans lequel ils ont pénétré par le plafond une fois dans la place, ils ont visité les vitrines mais le temps matériel leur a fait défaut pour s'attaquer au coffre-fort dans lequel sont, chaque soir, enfermées les pièces de grand prix, les pierreries et les perles précieuses.
Leur butin doit être fort maigre s'ils en ont fait un, ce qui n'est pas encore démontré. On ne sera fixé sur ce point que lorsque M. Sandoz, rappelé à Paris télégraphiquement, aura pu se livrer à une inspection en règle de son magasin.
La bijouterie Sandoz
1909. Croix en or avec une navette grenat au dos figure une plaque gravée
En
souvenir de Marie Sanger Gouin, née le 22 Janvier 1856, décédée le
15 décembre 1909 ", signé GR Sandoz
1909
Lettre de Gustave roger Sandoz réclamant l'inscription du nom de son père , sur la liste des membres fondateurs de l Ecole d Horlogerie de Paris. Satisfaction sera donnée à Mr Sandoz
Gustave Roger SANDOZ (attribuée à) : Broche-barette en platine et or jaune, centré d'un motif quadrilobé orné en serti-clos d'un diamant taille ancienne de 0.18 ct environ dans un entourage de diamants taillés en rose et saphirs calibrés. Dans son écrin. Numérotée. Long.: 8.8 cm. Poids brut: 8g70.
En 1910 un acte intéressant
Henri sandoz est décédé en 1904 c'est la dissolution de la société du 24 avenue de l Opera, vont signer Charles Gustave Roger Sandoz et Rosa Fontaine, la veuve d'Henri , le droit au bail est attribué a son fils Maurice Henri Sandoz négociant, demeurant au 24 avenue de l'Opéra
PREMIERE INSERTION.
Aux termes d'un acte reçu par Me Raoul Demanche et Me Louis-Alexandre Benoist, tous deux notaires à Paris, le 1er juin 1910, contenant partage de la société « Henri Sandoz et Cie » ayant son siège à Paris, avenue de l'Opéra, 24, entre : M. Charles-Gustave-Roger Sandoz, licencié en droit, fabricant d'horlogerie, bijouterie, joaillerie et orfèvrerie, officier de la Légion d'honneur, demeurant à Paris, rue Royale, 10, Mme Rosa Fontaine, négociante, demeurant à Ablon (Seine), rue de Paris, 17, veuve de M. Gustave-Henri Sandoz, Et M. Gustave-Maurice-Henri Sandoz,commerçant demeurant à Paris, 24 avenue de l'opéra ,Le fonds de commerce de bijouterie joaillerie et orfèvrerie exploité à Paris, avenue de l'Opéra, 24, connu sous le nom de « Henri Sandoz » comprenant le nom « Henri Sandoz » comprenant le nom Commercial, la clientèle ou achalandage, le servant à son exploitation des marchandises en dépendant et le droit au bail des lieux ou il est exploité a été attribué à M. Gustave Maurice-Henri Sandoz, négociant, demeurant à Paris , avenue de l'Opéra, 24, l'un desassociés
L'entrée en jouissance a été fixée retroactivement au 1er avril 1910..
L'acte de dissolution de société dont ce qui précède vise exclusivement la maison Sandoz, avenue de l'Opéra, 24 et ( à aucun point de vue la maison Gustave Sandoz, rue Royale, 10.)
PREMIERE INSERTION.
Aux termes d'un acte reçu par Me Raoul Demanche et Me Louis-Alexandre Benoist, tous deux notaires à Paris, le 1er juin 1910, contenant partage de la société « Henri Sandoz et Cie » ayant son siège à Paris, avenue de l'Opéra, 24, entre : M. Charles-Gustave-Roger Sandoz, licencié en droit, fabricant d'horlogerie, bijouterie, joaillerie et orfèvrerie, officier de la Légion d'honneur, demeurant à Paris, rue Royale, 10, Mme Rosa Fontaine, négociante, demeurant à Ablon (Seine), rue de Paris, 17, veuve de M. Gustave-Henri Sandoz, Et M. Gustave-Maurice-Henri Sandoz,commerçant demeurant à Paris, 24 avenue de l'opéra ,Le fonds de commerce de bijouterie joaillerie et orfèvrerie exploité à Paris, avenue de l'Opéra, 24, connu sous le nom de « Henri Sandoz » comprenant le nom « Henri Sandoz » comprenant le nom Commercial, la clientèle ou achalandage, le servant à son exploitation des marchandises en dépendant et le droit au bail des lieux ou il est exploité a été attribué à M. Gustave Maurice-Henri Sandoz, négociant, demeurant à Paris , avenue de l'Opéra, 24, l'un desassociés
L'entrée en jouissance a été fixée retroactivement au 1er avril 1910..
L'acte de dissolution de société dont ce qui précède vise exclusivement la maison Sandoz, avenue de l'Opéra, 24 et ( à aucun point de vue la maison Gustave Sandoz, rue Royale, 10.)
En 1911 Epée de l'académicien Henry Roujon, realisée par Becker pour Gustave Roger Sandoz.
Foire de Paris Gustave Sandoz-Gérard revue Les Amis de Paris 1914. texte ci-dessous
Qu'est ce qu'il faut faire.
Qu'est ce qui a été fait jusqu'à ce jour?L idée de concurrencer » la Foire de Leipzig ne date Pas d'aujourd'hui. Si l'occasion s'en présente en ce moment plus favorable qu'elle ne fut jamais, on y avait déjà pensé,Dans la Biographie de Gustave Sandoz par E. Cuper
de Postel et Lucien Layus (Paris 1894), je lis que G. Sandoz eut l'idée, après l'Exposition de Paris 1878, de conserver les bâtiments du Champ de Mars pour y installer un Grand Marché Occidental. Il disait : « Des grandes foires anciennes, il ne reste plus aujourd'hui que deux : celle de Nijni Novgorod à l'Est, celle de Leipzig au Centre. A Nijni, ville qui ne compte que 50.000 habitants, l'affluence des étrangers pendant la durée de la foire est de 230.000 au moins. Le chiffre des transactions, qui n'était en 1860 que de 180 millions de francs, monte, en 1876, à 540 millions, plus d'un demi-milliard. A Leipzig, le chiffre des affaires qui se traitent pendant la foire est de 400 millions.
« La « Foire de Paris » serait la grande foire de l'Occident et préparerait le prochain avènement de ces grandes entreprises : Paris port de mer et le canal des DeuxMers. Les étrangers, séduits par l'attrait particulier de Paris, y apporteraient volontiers leurs matières premières et les productions diverses que nos négociants sont obligés d'aller chercher aujourd'hui au dehors : à Anvers, à Hambourg, à Londres, et achèteraient
en échange nos produits manufacturés. »
Cette idée fut soutenue par MM. Yves Guyot, Léon Donnat, Charles Prévet. La presse s'en occupa quelque temps, puis passa à autre chose. Les journaux du monde entier s'intéressèrent à ce projet et annoncèrent le futur « Marché Occidental ». Le Temps lui consacra plusieurs études. On avait frappé juste, car la presse germanique d'alors, par exemple la Gazette Nationale de Berlin, s'alarma et sonna le tocsin.
Et l'on en resta là ! Les Allemands respirèrent.
Article sur la bijouterie Gustave Sandoz en 1922 , article sur Gérard Sandoz.
Guide du touring club de France, adresse personnelle de Roger Sandoz .
Intérieur du magasin de Roger Sandoz, rue royale, grande modernité pour l'époque.
VASE, VERS 1923-1924
dinanderie à décor géométrique patiné, d'oxydes d'argent et or fin Signé Gérard Sandoz au revers Hauteur : 23 cm Diamètre : 13 cm
Gérard Sandoz est avant tout joaillier et orfèvre, membre fondateur de l’Union des Artistes Modernes, aux côtés de Jean Fouquet et Raymond Templier.
Il réalisera également quelques rares vases en dinanderie, une quinzaine tout au plus exécutés entre 1923 et 1924.
Comme son oncle Paul Follot, il donne ses vases à monter chez Claudius Linossier, puis se charge des décors aux formes simples, géométriques, ou qui adoptent une esthétique industrielle inspirée de la machine.
dinanderie à décor géométrique patiné, d'oxydes d'argent et or fin Signé Gérard Sandoz au revers Hauteur : 23 cm Diamètre : 13 cm
Gérard Sandoz est avant tout joaillier et orfèvre, membre fondateur de l’Union des Artistes Modernes, aux côtés de Jean Fouquet et Raymond Templier.
Il réalisera également quelques rares vases en dinanderie, une quinzaine tout au plus exécutés entre 1923 et 1924.
Comme son oncle Paul Follot, il donne ses vases à monter chez Claudius Linossier, puis se charge des décors aux formes simples, géométriques, ou qui adoptent une esthétique industrielle inspirée de la machine.
Gérard SANDOZ (1902-1995) Très rare vase en dinanderie de cuivre à décor tournant, d'un fond marin animé de poissons et d'hippocampes stylisés, réalisé en laque polychrome rehaussée d'incrustations or. Un petit enfoncement. Vers 1924.
Très rare vase en dinanderie de cuivre à décor tournant d'un fond marin animé de poissons et d'hippocampes stylisés, réalisé en laque polychrome rehaussée d'incrustations or. Un petit enfoncement. Vers 1924. les deux vases vendus par
La Galerie de Chartres
Publicité de 1927 dans "la Semaine à Paris"
Service de Gérard Sandoz en argent et ébène
Revue: Renaissance de l'Art Français
1924
Série de pendentifs en matières précieuses réalisés avant et après 1925
Très beau Catalogue sur l expo 1925, si vous le trouvez, achetez le
Tout est daté 1925 pour gérard Sandoz, c'est peut être + ou -
La galerie Kelly nous propose cette boite de beauté (vanity case), que Van Cleef appelera bientot Minaudière
Sur Le couvercle avec le monogramme «ST»entourage de coquille d'oeuf ecrasé à l'intérieur un miroir, rouge à lèvres, porte-crayon et trois compartiments, avec couvercles à charnières. Etui d'origine en cuir bleu avec "Gustave Sandoz" & "G. Roger Sandoz» et l'adresse de l'entreprise. Argent 950 / poincon du fabricant JT
Hall de la bijouterie Française à l exposition des Arts décoratifs en 1925
1925
1929 Bonney, Thérèse (photographe)
1928 Bonney, Thérèse (photographe)
1927 dans la revue "Rennaissance de l'art français"
Page du livre Le Grand Négoce 1925
L' exposition va résumer les tendances de l'art nouveau de 1903 à 1930, mais certains artistes sont insatisfaits et trouvent que cette exposition n'est pas allée assez loin, alors Jean Fouquet, Gérard Sandoz Raymond Templier, Chareau, Mallet Stevens, le Corbusier, Walter Gropius, Herbst, Dja Bourgeois, Szaky vont fonder "L'Union des artistes modernes" qui exposera en 1930 au Pavillon de Marsan.
DES SERVICES à - THÉ en ARGENT
vus à L'EXPOSITIONpetit service à tisane de M. Auroc.
Les jeunes orfèvres au contraire, M. Jean Puiforcat, M. Roger Sandoz, qui ont à peine chacun vingt-cinq ans, ne craignent pas de donner à leurs formes, à leurs anses, aux graines des différents couvercles, une ampleur, une rigueur même tout athlétiques. On les sent fervents de sport et sans doute les mains féminines qui devront manier ces objets sont habituées à tenir les manches larges des raquettes, à se raidir autour des clubs de golf ou des volants d'automobiles.
Tous ces modèles sont équilibrés, bien conçus, bien construits et du point de vue technique d'une irréprochable exécution. Ce sont vraiment travaux d'orfèvres, où le marteau est l'outil par excellence.
Journal Vogue de 1925
Paire de boucles d'oreille en émail et jade, de Gérard Sandoz aux alentours de 1925
1925 Broche de Roger Sandoz et Gérard Sandoz
Aguttes
Notes de la maison de vente: La dynastie des Sandoz associe la tradition de l'orfèvrerie et de la joaillerie à la nécessité des arts industriels. Le bijou affecte des formes nouvelles et simples alliant une nuance de goût, une combinaison sobre de couleurs et des matières précieuses et délicates choisies avec grâce. La broche que nous vous présentons présente des lignes géométriques qui se distinguent par leur aspect monumental et sculptural. On retrouve dans cette broche l'attrait de Sandoz pour les matières précieuses avec l'utilisation de la coquille d'oeuf, du laque et de l'argent.
La presse en 1925 ne tarit pas d'éloges pour Gérard Sandoz
1927 Gérard Sandoz
Pendentif de 1927 en or, ony et émail
Gustave-Roger Sandoz a conçu des bijoux qui étaient beaux dans leur simplicité et leur géométrie, indicative du mouvement Art Déco du milieu des années 1920. Bien que ses principes artistiques aient été bons, ses finances étaient incapables de soutenir sa vision. Face à des difficultés financières, Gustave-Roger Sandoz a pris la décision de vendre son entreprise de bijoux à l'atelier Georges Lenfant en 1927. Avant 1927, Georges Lenfant avait fabriqué les diverses idées des Sandoz, il était familier avec la famille et comprenait l'esthétique Sandoz. Gustave-Roger a installé son fils Gérard en tant que directeur artistique et avec Lenfant, ils ont vendu leurs fabrications sous le nom de la société "Maison Sandoz" jusqu'à ce que la société soit dissoute en 1938.
Journal l'Officiel de 1928, archives de la Maison Jalou
Décor ressemblant à l article plus haut a rapprocher de celui ci-dessous de Paul Brandt, même technique
Le N° 172 est un grand étui a cigarettes en argent et or avec des bandes or et laque noire alternées signée et numeroté Gustave Sandoz vers les années1920
Le 173, un étui à cigarettes en argent avec un décor floral en laque noire signé par gustave Sandoz vers 1920
Gérard Sandoz s'est beaucoup servi du Nielle, témoin cet étui à cigarettes en argent Art Déco 4 fleurs sur un parterre de feuilles, il est doré à l intérieur, signé. Pour les tous jeunes étudiants en bijouterie, le Nielle est l'incrustation d'un mastic de couleur foncé dans les traits d'un dessin gravé sur une matière dure, pierre, ivoire ou métal. Mais aujourd'hui ce terme est exclusivement réservé aux figures et ornements gravés sur métal, cuivre, argent ou or, dont les lignes creusées au burin sont remplies d'une matière noire qui fait valoir le trait en l'accentuant, Cette matière, sorte d'émail, est le nielle, du latin nigellum, encaustum nigrum, en italien niello.
Journal l'Officiel de 1928, archives de la Maison Jalou
1928 Madame Sandoz
Les quatre panneaux floraux sont sculptés dans du Lapis Lazuli, flanquées par des segments de jade , espacées par des liens de forme carrée ajourées, Fabriqué en grande partie par Georges Lenfant aux environs de 1928. Sotheby's. des bracelets similaires sont illustrés dans Bijoux Art déco écrit par Évelyne Possémé,
Bagues, bracelet de Gérard Sandoz
Bague de la photo noir et blanc ci-dessus, 1928 collection Jean pierre Malga, Paris
Les six plaques du bracelet flexible avec marqueterie noire, émail gris et rouge construit comme des formes géométriques, vers 1930.
Très beau modèle de RG Sandoz en Verre, or diamants aux environs de 1930
Etui à cigarettes
Etui avec Nielle
Etui à cigarette avec décor coquille d'oeuf
Bracelets de Gérard Sandoz 1928
Sandoz Gérard (1902 - 1995) COUPE, vers 1930. Argent martelé et bois.
Signé Gérard Sandoz. D 23,5 cm.
Jardinière par Gérard Sandozen argent vers 1930, avec la marque
de designers, Minerva marque et le poinçon d'orfèvre à la base
Broche or blanc en cristal de roche , aigue marine , bandes d'émail noir de Gérard Sandoz vers 1930 vendue par Christie's dans un écrin d origine de Roger Gustave Sandoz.
Gerard Sandoz prend la direction d'une société diamantaire rue Lincoln près des Champs Elysées en 1930
Boutons de Manchettes onyx or et diamants 1930 de Roger Gustave Sandoz.
Boîte
de beauté en argent et vermeil en émail cloisonné à décor
géométrique noir et turquoise. Le couvercle avec un fermoir latéral
découvre un miroir, un tube de rouge à lèvre et deux casiers Signé
deux fois «G- R- Sandoz - Paris» et «Gerard Sandoz» Vers 1930
Maître-Orfèvre: AP et un trépied, poinçon tête d'aigle Poids
brut 202 g H. 1,5 cm - L. 7,7 cm - P. 5.2 cm Petits éclats et chocs
Intérieur de cette boite de Beauté en argent et vermeil:
Etude Debaeque Lyon et
Paris http://debaecque.fr/index.jsp?setLng=fr
Le système des heures sautantes a été inventé par l'horloger français Blondeau au cours des années 1930. Une montre à heures sautantes n'affiche pas les heures par le biais d'une aiguille. Elle est dotée d'une petite ouverture située dans le cadran de la montre et dans laquelle est affiché un chiffre qui correspond à l'heure. À chaque changement d'heure le chiffre affiché laisse place au suivant. Très souvent, les montres à heures sautantes sont mixtes : l'heure est affichée par un chiffre et les minutes et les secondes sont indiquées par des aiguilles classiques.
1932
Etui a cigarettes avec un design de "points" qui n a rien a envier a certains décors notre télévision actuelle
Dans le journal la Rampe de 1932, ces bijoux sont de gérard Sandoz
En 1915 Gaston Vuitton s'installe aux champs Elysées et va fonder une association, "Les Amis des Champs Elysées"
1932 Gérard Sandoz s'installe 4 rue de Lincoln et s'inscrit aux amis des champs elysées présidée par Gaston Vuitton, gageons que beaucoup de membres des "amis des Champs Elysées" n'auront pas gouté les choix de leur président de 40 à 44.
"Lorsque Philippe Pétain installe son gouvernement dans les mûrs de l'hôtel du parc, à Vichy, toutes les enseignes de luxe qui, comme les joailliers Van Cleef et Arpels, y tiennent boutique, en sont chassées. Toutes, sauf une : le bagagiste Vuitton. La maison, fondée en 1854 par Louis Vuitton et mise à la mode par l'impératrice Eugénie (l'épouse de Napoléon III), est, en 1940, dirigée son petit-fils Gaston. Ce dernier demande à son frère aîné Henry d'afficher de façon claire sa fidélité au nouveau régime afin d'assurer la pérennité de la marque. La maison Vuitton va ainsi fabriquer, dans des ateliers expressément constitués à cette fin, des objets à la gloire du maréchal Pétain et notamment 2500 bustes officiels. Henry Vuitton entretient par ailleurs de fortes amitiés avec les officiers de la Gestapo. Il est même l'un des rares industriels à être décoré par les nazis, en remerciement de sa loyauté. Une cérémonie durant laquelle les officiers de la SS et de la Wehrmacht arborent des uniformes dessinés par un tailleur de Metzingen, un certain Hugo Boss, et confectionnés par des déportés et des travailleurs du STO".
67 ans apres, en 2011 cet article de "Géo Histoire" ou tout est vrai historiquement, a été censuré.
Dans le Journal la Rampe article sur la Maison Gustave Roger Sandoz, et puis Gérard Sandoz après une courte et brillante carrière , décroche de la Bijouterie et en 1932 se lance dans le cinéma.
Il écrit le scénario d'un film ou il jouera aussi la comédie avec Danielle Darrieux.
1932 Affiche du Film
Journal L'officiel de 1936
1938 Dissolution de la société Sandoz.
Il faut attendre 1954 pour retrouver Gérard Sandoz comme réalisateur et scénariste de ce film qui sortira en 1956 avec une belle distribution
Blanchette Brunoy, Jacques Charon, Philippe Hersent, Jean-Pierre Kerrien, Charles Lemontier, Howard Vernon.
Dans les année 1960 il réalise des tableaux avec apparemment l idée de transferer ces dessins en bijoux
Art Price situe ce tableau en 1980
Gerard Sandoz a été ensuite 7 fois acteur dans des series TV, dont en 1972 "Les Fossés de Vincennes
Puis en 1982!!
La maison de ventes Debaeque de Lyon et Paris a récemment vendu cette broche de Gérard Sandoz
Le dessin serait de Gérard Sandoz en 1982 et la pièce aurait été réalisée en 1984, ci dessous le texte du catalogue.
Belle broche moderniste mêlant onyx, cornaline, or gris sablé, cristal de roche dépoli, filets d'or jaune poli Pièce unique réalisée en 1982 Poids brut:... L. 7,5 cm On joint un dessin préparatoire gouaché avec des indications au crayon (couleurs et de matières...) et une maquette de la broche signés Provenance: Collection Barlach Heuer
Les pièces uniques que nous présentons, datées de 1982 et 1984, sont des commandes spéciales de Barlach HEUER, artiste peintre de renommée internationale, amateur éclairé et collectionneur de pièces rares.
Texte de l'étude Debaeque
Gérard SANDOZ (1902-1995)
Important pendentif moderniste en lapis lazuli, onyx, or gris sablé, filets en or gris poli, cristal de roche dépoli et sa chaîne à maille torsadée en or gris Pièce unique réalisée en 1984 H. 9 cm On joint un dessin préparatoire gouaché avec des indication au crayon ( de couleurs et de matières) et une maquette signées Provenance: Collection Barlach Heuer.
C'est un article qui doit pouvoir être complété, des informations sont dans les musées, mais ne sont pas consultables sur internet, contrairement aux musées étrangers. c'est pourquoi je suis preneur de tous textes ou informations.
Gérard Sandoz est décédé en 1995, qu'a t il fait entre 1955 et 1995?
Merci à Carine Miller, la BNF, Gallica, Christie's, Sotheby's, Etude Debaeque, Tajan, editions Jalou, Mme Evelyne Posseme.
C'est un article qui doit pouvoir être complété, des informations sont dans les musées, mais ne sont pas consultables sur internet, contrairement aux musées étrangers. c'est pourquoi je suis preneur de tous textes ou informations.
Gérard Sandoz est décédé en 1995, qu'a t il fait entre 1955 et 1995?
Merci à Carine Miller, la BNF, Gallica, Christie's, Sotheby's, Etude Debaeque, Tajan, editions Jalou, Mme Evelyne Posseme.