dimanche 7 septembre 2025

Edouard De Martilly, Dessinateur, Bijoutier , Bronzier, Peintre sur émail, scénographe, touche à tout de grand talent



Sotheby's a revendu cette boucle de cape d' Edouard de Martilly, Une des pièces de jade porte la signature manuscrite Martilly. Une pièce Art Nouveau  admirable de ce dessinateur français, Vivienne Becker cite son nom sans autres précisions qu'une date 1903.  Mais qui était-il?

Un indice au Musée D'Orsay:

Edouard de Martilly : , Edouard Henri Marie Joseph de  (état civil)  Naissance Beauvais, Oise (60), 
Activités entre 1902 et 1913 Nationalité présumée France, Genre, Homme Commentaire Dessinateur de bijoux . 

De longues recherches, car le musée indique son état civil, qui ne correspond à rien, reste le lieu de naissance: Beauvais.  Une fiche des électeurs de Paris en 1936   m'aide beaucoup. Serait ce le bon?                                                                                  


Nom : JUHELLE dit de MARTILLY : Prénom : Edouard  Profession : Artiste Sculpteur : Date de naissance : 20/03/1877

Lieu de naissance : Beauvais, Oise, France Lieu de résidence : Paris, Paris, France Adresse : 26 Avenue de Breteuil

Année d'inscription sur les listes : 1936.



J'ai pu retrouver son acte de Naissance : L' an 1877 le 21-03 Jules Armand Narcisse Juhellé, agé de 38 ans, vérificateur d'enregistrement des domaines, mari de Maria Elisabeth Terry a présenté un enfant qu'il prénomme Edouard Henri Marie Joseph Juhellé.

Il se nomme donc Juhellé .

Il eut une petite soeur  "Isabelle" qui naquit en 1881 mais qui décéda le 13 mars 1882. Il est intéressant de voir que le domicile de ses parents  se trouvait Rue de Seine à Paris. 
Le père d Isabelle et Edouard était  Premier commis à l'enregistrement des domaines.
Son grand père était Vérificateur puis directeur de l'enregistrement des domaines
Son arrière grand père Receveur des domaines et conservateur des Hypothèques .


Je n'ai rien trouvé sur sa formation, la première indication date le 30/04/1899 un document dans le "Midi Mondain" Edouard a 22 ans, son père est cité aussi , à l occasion du décès  d'un membre proche de sa famille.


Ce Bronze est daté de 1900 sur le site 1Stdibs "Femme Fleur"


Sa signature,  la date est elle la bonne?


Ce bronze est un porte bougie , laquelle se place dans le bouton de fleur 


Le 24 juillet 1902, il fait insculper son poinçon, et voici son adresse en 1902 


Donc en 1902 il habite un lieu unique et charmant. Le hameau Boileau est, comme la villa Montmorency, une villa du 16e arrondissement de Paris.
L'entrée de ce quartier fermé et privé se situe au 38, rue Boileau. Il est composé de cinq voies : l'avenue Molière, l'avenue Despréaux, l'impasse Racine, l'impasse Corneille et l'impasse Voltaire, et compte 60 numéros.
Il porte ce nom en raison de sa proximité avec la rue éponyme, du nom de l'écrivain Nicolas Boileau, qui y posséda une maison, où il reçut notamment Molière et Racine.
Créé en 1838 dans ce qui était à l'époque une banlieue de Paris, le hameau Boileau était à sa création la propriété de l'imprimeur Rose-Joseph Lemercier et a été dessiné par l'architecte Théodore Charpentier
Le hameau Boileau est classé comme site par décret du 3 juillet 1970, alors qu'il faisait face à des menaces de démolition de la part de promoteurs immobiliers.
D'aspect bucolique, loti de maisons rappelant l'ancien village d'Auteuil, il tranche avec les rues généralement bordées d'immeubles de la capitale.


Ont habité dans le hameau Boileau : Wikipedia a  oublié Edouard de Martilly.
le prince Pierre-Napoléon Bonaparte, le sculpteur Jean-Baptiste Carpeaux ,le sculpteur Georges Muguet l'explorateur Gabriel Bonvalot, Monsieur et madame Griffon, propriétaires du restaurant Griffon ; no 14 bis : l'artiste peintre Amédée Julien Marcel-Clément y est né le 15 septembre 1873 ; no 21 : le sculpteur Paul Moreau-Vauthier ; no 24 , un manoir néogothique-normand avec tourelle et colombages réalisé par l'architecte Jean-Charles Danjoy. C'est le lieu de tournage du film Hibernatus avec Louis de Funès en 1969.
Pensionnat israélite Kahn, dont l'épouse de Paul Gavarni fut sous-directrice. La comédienne Sarah Bernhardt  y aurait étudié; Bâtiment de l'ambassade d'Algérie. Il s'agit de l'École internationale algérienne Malek-Bennabi, dont l'entrée se trouve 40 rue Boileau.


1902 dans la Revue du Bien



On retrouve ce bijou à droite, dans la photographie précédente.  Cette boucle de cape mesure  7.8 cm sur 3 cm. Chaque partie de forme auriculaire à décor de troncs d'arbres, les feuilles émaillées en vert, sur un fond de nacre irisée, avec deux pendants en jade en forme de pommes de pin
Cette boucle est illustrée dans le livre d'Alastair Duncan, Salons de Paris, p. 178.

Ces photographies de bijoux  sur la  page plus haut sont  tirées du livre  ci-dessous


Merci Mike Fieggen, mon ami australien.


Une agrafe  en 1902 par  De Martilly



1903 dans la revue l'Art Appliqué, la deuxième bague en partant de la gauche est celle qui se trouve ci-dessous. Donc ces bijoux ont été fabriqués et mis en vente, à mes lecteurs de faire en sorte qu'ils soient retrouvés et attribués.

En vente actuellement sur le site 1Stdibs: https://www.1stdibs.com/fr/
Cette bague en saphir et émail est montée en or 18 carats. L'anneau allongé de forme bombée est centré sur une ligne de saphirs ronds, ovales et en forme de coussin, flanqués de fleurs de lotus ciselées se chevauchant sur de longues tiges, soulignées par un émail bleu champlevé.  De  Edouard De Martilly Dimensions : 1,25" de largeur Taille : 6 : 11 saphirs ronds (poids total approximatif de 1,40 carats) ; or 18K Signé :poinçon français.




sur cette planche, des bijoux de lui tout à fait comparables aux plus grands de l'Art Nouveau.



A gauche, ce pommeau d ombrelle représentant un paon,  déclencha un procès pour contrefaçon suite à la loi de 1902 et de 1793

Le Tribunal de la Seine avait condamné M. Baudin pour avoir contrefait un manche d’ombrelle dessiné et sculpté par Juhellé de Martilly, un exemplaire contrefait ayant été saisi antérieurement à la mise en vigueur de la loi du 11 mars 1902. Sur l’appel de M. Baudin, ce jugement a été confirmé par la Cour, qui a reconnu à l’objet le caractère artistique propre à lui assurer la protection de la loi de 1793, malgré l’utilisation pratique de l’objet et bien que le sujet ait reçu des applications antérieures.
LA COUR :
Considérant qu’il n’y a lieu de s’arrêter à cette circonstance que Juhellé de Martilly ait reconnu la cession par lui faite à la maison Collin du modèle de manche d’ombrelle dont il est l’auteur et dont il poursuit la contrefaçon ; qu’il appert des documents de la cause que la maison Collin s’est seulement réservée, au regard de Juhellé de Martilly, la vente de ce modèle, dont la propriété même et le droit de reproduction doivent être réputés appartenir à Juhellé de Martilly ;
Considérant que le modèle est constitué par un oiseau les ailes éployées, abaissant ses plumes, posant ses griffes et allongeant le cou sur le manche de l’ombrelle, qu’il a été exposé au musée Galliera avec d’autres œuvres du même artiste ; que cet objet présente manifestement un caractère artistique, tant par la forme qu’il revêt, que par l’exécution même du travail ; qu’il n’importe que le motif dont il s’inspire ait reçu des applications antérieures, alors qu’il présente, dans l’agencement des détails, une certaine originalité ; que de même l’utilisation pratique du modèle n’empêche qu’il puisse être considéré comme un objet d’art et ne suffit pas à lui donner le caractère industriel ;
Considérant dans ces circonstances qu’on ne saurait assimiler la création de Juhellé de Martilly à un modèle de fabrique, que rien n’autorise non plus à considérer l’auteur comme un fabricant ; que, par suite, il n’y a lieu de subordonner la régularité de la poursuite en contrefaçon du dépôt préalable de l’invention aux archives des conseils de prud’hommes aux termes de la loi du 18 mars 1806 (art. 57), que Juhellé de Martilly invoque à bon droit la protection de la loi du 19 juillet 1793 et n’a pas besoin de se prévaloir de la loi…


C'est dans ce journal que fut publié ce jugement, il confirme que

1):Juhellé de Martilly était encore actif et présent à Paris au moment de l’audience le 7 juillet 1903, puisque la Cour parle de lui comme auteur et acteur dans une affaire en cours.
2):La décision apporte une justification artistique au manche d’ombrelle — spécifiquement, une sculpture en forme d’oiseau — et le reconnaît comme œuvre d’art protégé sous la loi de 1793, non comme simple modèle industriel.
3):Même s’il avait cédé la vente du modèle à la maison Collin, la propriété intellectuelle et le droit de reproduction lui sont restés reconnus, ce qui légitime pleinement la poursuite en contrefaçon.
4): Qu'au regard de la justice son nom officiel est "Juhellé de Martilly"



Dans la revue "l'Art Appliqué" de 1903 bijoux de De Martilly  (voir points rouges)

"M. de Martilly est, si je ne me trompe, un nouveau venu au Salon. Son exposition est des plus remarquables et nous fait beaucoup espérer pour l'avenir. Sa libellule en or avec pierres et émail, formant plaque de cou, est fort jolie; l'oeuvre est légère dans son ensemble, d'un caractère bien moderne, qui n'est pas pour nous déplaire, au contraire. De plus, elle est aimablement décorative. Une poignée d'ombrelle, du même artiste," représentant un paon, ne manquera pas d'attirer les désirs de quelque élégante. La. série de ses bagues est particulièrement intéressante et réussie."
1903 revue de la BJO.



1904 De Martilly, Mangeant, Boutet de Monvel exposent pour la quatrième fois leurs bijoux à "L'art Moderne"
Carton d'invitation sur papier canson gris, 1904, 21 X 14 cm. Carte signée Charles Boutet de Monvel ( 1856-1940 ). Il crée son atelier d'orfèvrerie en 1900. Cousin de Bernard Boutet de Monvel il est propriétaire de "L'Art Moderne" magasin de bijoux artistiques qui présente outre des pièces d'orfévrerie , une galerie de tableaux de Maitres Impressionnistes. Il réalise des bijoux en or ou en argent, très influencés par l'art japonais, avec un répertoire naturaliste très étonnant, voire même extravagant - Hibou, cygne, caméléon, serpent, hippocampe, pieuvre, coquillage, algues, insectes, toile d'araignée, auquel s'ajoute un traitement très rude de la matière et bien éloigné des harmonies émaillées des autres bijoutiers de l'Art Nouveau. 


1904 dans la Revue Septentrionale, Edouard De Martilly  reçoit la médaille d'or à l'exposition d'Arras


1904 dans le New York Hérald Tribune , Edouard de Martilly est cité pour des bijoux en or, argent, platine, rubis, jade et ivoire.


Dans l annuaire "Paris Hachette" de 1904  Edouard de Martilly habite au 9 bis Hameau Boileau

Né au début des années 1890 comme un cri de protestation contre les dérives aveugles de l'industrialisation mais aussi contre les reproductions stériles du style Grand Siècle, le mouvement Art nouveau a eu l'éclat puissant mais éphémère d'une étoile filante. Vingt ans à peine après son apparition, il était balayé par l'Art déco auquel la postérité a fait meilleur accueil. Pourtant, cet art total et mondial, qui avait l'ambition de mettre en place un univers favorable à l'épanouissement de l'individu, a séduit les meilleurs artistes de son temps. On pense bien sûr à Louis Comfort Tiffany, à René Lalique, à Henri Vever. Ces trois personnalités dominaient de leur gloire une myriade de joailliers, pour la plupart injustement oubliés, dont le talent est attesté par des bijoux qui reviennent parfois sur le devant de la scène à la faveur d'une vente aux enchères : Marcel Bing, Édouard Colonna ? qui a d'ailleurs travaillé pour Tiffany ?, Georges de Ribeaucourt, Édouard de Martilly, Georges Le Turcq, Aimé Arnould, la liste est longue. Ce cri de protestation, il faut le signaler, était la somme revendiquée d'un travail collectif où se conjuguaient l'énergie des joailliers, des dessinateurs et des artisans. Ainsi, Georges Fouquet associait volontiers son ouvre à celle de Charles Desrosiers et d'Alphonse Mucha, tandis que les frères Vever mettaient publiquement en avant la virtuosité de leurs dessinateurs mais aussi celle de leur émailleur, M. Tourette. (1903 revue de la BJO)


M. de Martilly, un jeune artiste dont les œuvres sont actuellement exposées au Grand Palais, notamment dans le « Palais de la Femme ». Bien qu’il ne travaille sérieusement que depuis cinq ans, il a rapidement su se distinguer par son talent. Dans sa jeunesse, sa santé fragile l’empêchait de terminer ses études et il était davantage attiré par les sciences exactes que par l’art classique. Ce sont surtout les spectacles de la nature — couchers de soleil, paysages marins ou montagneux, harmonies de formes et de couleurs — qui ont éveillé en lui un sens esthétique précoce. À dix-huit ans, isolé sur la Méditerranée pour se rétablir, il commence à peindre et à modeler, trouvant dans la glaise des marais environnants une matière pour ses premières créations.

À Paris, il suit brièvement des cours d’académie, mais abandonne vite l’enseignement formel, préférant travailler seul. Ses débuts l’amènent à s’essayer à l’art industriel et particulièrement à la joaillerie, discipline exigeante où l’exécution implique de nombreux artisans. Il y développe patience et rigueur, apprenant à harmoniser matériaux et couleurs dans un espace réduit, tout en préservant le caractère de parure de ses bijoux.

Après son succès en joaillerie, M. de Martilly s’intéresse aux innovations dans l’éclairage électrique et à la sculpture, en particulier l’étude des visages humains, qu’il considère comme le reflet des émotions et de l’âme. Il admire également l’art japonais pour sa vivacité et son lien avec la nature.Son appartement de la rue Fabert reflète son univers artistique unique, alliant anciens éléments décoratifs et objets créés par lui-même, témoignant de sa personnalité et de sa vision de l’art.



1905 La Gazette de la Capitale "Il n’est, pas un visiteur de la dernière exposition du « Palais de la Femme » qui n’ait admiré les vitrines de M. de Martilly. Ce jeune artiste triomphe dans la joaillerie. Tout en conservant au bijou son caractère essentiel do parure, il sait fondre les tons un peu crus des métaux précieux et des pierreries dans une gamme d'harmonie où l’émail joue son rôle, soit en assourdissant certains tons, soit en soulignant l’éclat des gemmes. L’aigle au grand vol, pectoral d’or ciselé avec pierreries, l’agrafe aux paons argent ciselé doré et patiné, turquoises et opales, un pendentif composé d’or, de platine et de pierres ancrées sur ivoire sont des pièces maîtresses, où la variété des matériaux employés forme cependant un ensemble simple d’un détail exquis et d’une tonalité harmonieuse. Actuellement, dans son atelier de la rue Fabert, dans cette antique demeure Louis XIII encombrée de bahuts, de statuettes et de tapisseries, M. de Martilly s’occupe de plus en plus de la décoration qu’on peut apporter à l’éclairage électrique. Ce nouveau mode de lumière, par son absence de chaleur se prête à des combinaisons infinies. On peut l’emprisonner dans l’écaille, dans la nacre, dans la corne sculptée, la faire surgir du bois, du grès, du verre. C’est une joie de dissimuler son foyer et d’en tamiser les ondes pour que les objets environnants soient baignés de douce lumière. Et c'est ainsi que M. de Martilly prépare de nouvelles vitrines où l’on admire des vases élancés, des gerbes de branchages dont les fleurs de cristal éclosent en lumière sous des feuillages ingénieusement imaginés, qui seront les clous de Noël et du 1 jour de l’An et que toute femme vraiment élégante tiendra à posséder pour orner son home."

Cet article confirme son activité d'étalagiste pour joailliers


Mais dans l 'Almanach du commerce et de l industrie de 1907, il habite  au 48 rue Fabert, cette adresse n'existe plus, remplacée par un grand immeuble.


1910 au salon d'automne  Edouard de Martilly présente une oeuvre "Le Nègre Bleu" Concernant la nature de l'œuvre, il n'existe pas de documentation précise indiquant si « Le Nègre bleu » était une peinture ou une sculpture. Cependant, étant donné que De Martilly était principalement peintre, il est probable que cette œuvre ait été une toile. (Avis Personnel)

En 1917, attiré par le nouvel art cinématographique, Martilly collabore en tant que scénographe à la comédie dramatique « Par La Vérité ». Un critique de cinéma contemporain l’a décrit comme un « maître » de l’art.

Bases cinéma / archives — plusieurs fiches et bases répertorient le film Par la vérité (1917) et listent Edouard de Martilly comme artiste/décorateur / direction artistique , et la Ciné-ressources  La Cinémathèque semblent posséder des fiches relatives au film et à Martilly (entrée « Décorateur : années 1910 »)

J ai écrit à  la Cinémathèque française / Ciné-Ressources et à la Fondation Jérôme Seydoux-Pathé.          J espère une réponse sur ce film et mettrais a jour.


1925 au mois d'Avril une strophe dédiée a Edouard de Martilly.


1943 Décès de Edouard de Martilly à 66 ans


26 avenue de Breteuil à Paris 15 ème, le dernier domicile de  Edouard Juhellé dit De Martilly


Edouard Juhellé dit De Martilly, est décédé au 33 rue Olivier de Serres paris 15eme ou se trouvait à l'époque l'Hôpital Saint Michel.

Armorial general des registres de la noblesse de France

Ce document intrigue à propos de son nom  "Juhellé de Martilly" 
j ai effectué des recherches. Cette famille  a existé, Edouard en descendait-il? 


J ai trouvé ces armoiries dont le nom a été rectifié à la main sur l'un des livres : Cabinet des titres : recherches de noblesse, armoriaux, preuves, histoires généalogiques. Armorial général de France, dressé, en vertu de l'édit de 1696, par Charles D'HOZIER. (1697-1709). XX Normandie, Caen.
Thomas Juhellé, sieur de Martilly figure bien dans l’Armorial (édit de 1696, généralité de Caen, p. 226), avec armes enregistrées.

Au pays virois (1933) cite la seigneurie de Martilly, Julien Juhellé (achat 1749) et renvoie explicitement à l’Armorial (généralité de Caen). Cela confirme la continuité locale des titres et la référence d’époque. 

Des photos, des documents, des commentaires? ci-dessous ou m'écrire à richard.jeanjacques@gmail.com ou :
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Edouard De Martilly, Dessinateur, Bijoutier , Bronzier, Peintre sur émail, scénographe, touche à tout de grand talent

Sotheby's a revendu cette boucle de cape d' Edouard de Martilly, Une des pièces de jade porte la signature manuscrite Martilly. Une...