Georg Jensen est plus un orfèvre qu'un bijoutier , mais il a laissé un style très particulier .
En orfèvrerie c'est un grand" designer" qui a influencé des générations de tous pays.
Né en 1866, le 31-aout, Jensen était le fils d'un rémouleur ( ouvrier, artisan qui aiguise les couteaux) à Raadvad, au nord de Copenhague. Son père était Jorgen Jensen Georg, le dernier des 8 enfants de Jorgen.
A l age de 13 ans il quitte l'école et va travailler a l usine de couteaux ou est employé son père.
Il a commencé sa formation d'orfèvre à l'âge de 14 ans à Copenhague car sa famille est partie de Raadvad pour aller y vivre. Son apprentissage chez Guldsmed Andersen s'acheva en 1884, il obtient le diplôme d'orfèvre qualifié.
Broche Adam et Eve argent et Vermeil
L'année suivante en 1885 Georg va suivre des cours de dessin à la Technical Society School de Copenhague et c'est en 1887 qu' il va être admis à l académie des beaux arts de Copenhague.
Depuis sa tendre enfance, Jensen souhaitait devenir sculpteur et il poursuit maintenant ses études à la Royal Academy of Fine Arts .
Il expose pour la première fois en 1889 à Charlotttenborg sur Copenhague, et présente un buste de son père.
Il obtint son diplôme en 1892 et commença à exposer ses travaux. En particulier un buste , intitulé "Harvester" Bien que sa sculpture en argile ait été bien accueillie, gagner sa vie en tant qu'artiste s'est révélé difficile et il s'est tourné vers les arts appliqués.
Heureusement, dès 1893 il obtint plusieurs bourses qui lui permettent d'exercer ses talents de sculpteur cela lui permet aussi d'effectuer son premier voyage à Berlin
D'abord modéliste à la manufacture de porcelaine Bing & Grondahl, il aurait fondé, en 1898, un petit atelier de poterie, en partenariat avec Christian Petersen
En 1900 il est récompensé par une "mention Honorable" a la fameuse exposition universelle de 1900 a Paris
https://laurencepicot.wordpress.com/2014/03/11/georg-jensen-quelque-chose-de-pourri-au-royaume-du-danemarketing/
En 1901, il abandonne la céramique et redevient orfèvre et designer aux cotés du maître Mogens Ballin.
1903-1904 oeuvres de Georg Jensen dans la revue "L art appliqué"
En 1904 Georg Jensen s' installe en atelier au 36 Bredgade à Copenhague , Georg Jensen donna à sa société le ton qui tracerait son cours pour les décennies à venir. C’est son esprit d’innovation, son savoir-faire artisanal irréprochable et sa sensibilité au design scandinave.
Qui plus que lui fit découvrir et connaître le style danois mais surtout scandinave.
La décoration de style scandinave devint de plus en plus populaire avec un dessin très épuré . D'ailleurs lors de son exposition au Musée des arts appliqués,de Copenhague en octobre toute sa marchandise exposée est vendue et il obtient une très bonne couverture presse.
En 1901, il abandonne la céramique et redevient orfèvre et designer aux cotés du maître Mogens Ballin.
1903-1904 oeuvres de Georg Jensen dans la revue "L art appliqué"
En 1904 Georg Jensen s' installe en atelier au 36 Bredgade à Copenhague , Georg Jensen donna à sa société le ton qui tracerait son cours pour les décennies à venir. C’est son esprit d’innovation, son savoir-faire artisanal irréprochable et sa sensibilité au design scandinave.
Qui plus que lui fit découvrir et connaître le style danois mais surtout scandinave.
La décoration de style scandinave devint de plus en plus populaire avec un dessin très épuré . D'ailleurs lors de son exposition au Musée des arts appliqués,de Copenhague en octobre toute sa marchandise exposée est vendue et il obtient une très bonne couverture presse.
A propos de ses débuts je retranscris fidèlement un article de la revue "Capital"
Durant un temps, Jensen mène une double vie, créant des pièces pour une société de céramiques le jour, sculptant, créant des bijoux et se formant à la poterie la nuit. Ses pièces sont montrées avec succès, et il s’installe enfin à son compte comme orfèvre à 38 ans. A l’or, il préfère l’argent, pour des raisons esthétiques. Une première exposition de ses bracelets, broches, boucles de ceintures et peignes au musée des Arts décoratifs de Copenhague suscite l’engouement. «Avec ses créations radicalement nouvelles, Jensen a éveillé comme personne la beauté de l’argent, qui s’était endormie», écrit un critique. Sa carrière est lancée, et il place un panneau «fermé pour travaux» sur son atelier pour reconstituer son stock.
Ce qu’on appelle le style Georg Jensen combine la simplicité et l’équilibre des formes, le raffinement de la réalisation et, pour les bijoux, l’utilisation d’agates, d’améthystes, de lapis-lazuli, d’écaille, de corail ou d’ivoire plutôt que de pierres précieuses. Les lignes des services de table, vases, chandeliers et bijoux évolueront pourtant, passant de la «beauté en rondeurs » à l’Art nouveau, découvert lors d’un voyage en France, puis s’épurant pour faire naître des objets rappelant les sculptures de Constantin Brancusi ou Jean Arp. Son succès fulgurant en Allemagne incite en effet l’artisan à engager des créateurs encore plus modernistes que lui, tel son beau-frère Harald Nielsen, qui deviendra le directeur artistique de la firme après son décès, ou le sculpteur, peintre, écrivain et architecte Jan Rohde. Jensen leur laisse toute liberté et les crédite des pièces qu’ils créent. Le style maison n’en reste pas moins toujours reconnaissable, ouvrant la voie au design scandinave, qui s’épanouira ensuite dans le meuble, la verrerie ou la porcelaine. Il possède un caractère intemporel, et de nombreuses lignes conçues par Jensen et ses collaborateurs sont encore en vente.
En 1918, la firme Georg Jensen emploie 125 salariés et ouvre des boutiques à Londres et Paris, avant de s’installer à New York en 1924. C’est alors que son fondateur s’en distancie pour travailler en solitaire, tandis que sa marque remporte le Grand Prix des foires mondiales de Paris, Barcelone et Bruxelles.
Service
à thé-café quatre pièces en argent tripode, les prises des couvercles
feuillagées, les manches en ivoire gravé. Avec son plateau rectangulaire en
argent. Travail Danois de Georg JENSEN, réalisé entre 1919 et 1927, mais crée
en 1905. Poids brut: 2,033 kg. (ce modèle figure en couverture de l'ouvrage
consacré à G.Jensen édité par J. Moller en 1984).
Broche 1905
Jensen exécuta de nombreuses sculptures au goût d'inspiration française contemporaine et créa également de belles œuvres de céramique qu'il a exposé à l'exposition universelle de Paris en 1900. Mais sa réputation vient de l'argent, qu'il a adopté après un voyage international en 1900-01, d'abord dans l' atelier de Mogens Ballin .
Avec ses bijoux robustes , où les marques du marteau ont été laissées, et où une fine couche de platine souligne le ton gris du matériau, les œuvres argentiques de Georg Jensen se distinguent de l'art raffiné contemporain des pierres précieuses. Les pays nordiques ont utilisé l'ambre ou d’autres pierres sans prétention, taillées en cabochon La simplicité caractérisait également les couverts de Georg Jensen, tels que King et Continental ( Antik ), où la forme, le poids et le matériau étaient la principale qualité.
Cette pièce date de 1905 et à la suite de la visite de Messieurs Osthaus et Van De Velde à son atelier d orfèvrerie, plusieurs expositions vont être organisées en allemagne.
1909 argent Ambre et Corail
En 1909 Georg Jensen ouvre son premier magasin à Berlin et participe pour la première fois au salon d automne à Paris
Un groupe de bijoux, par Georg
Jensen
comprenant: une broche en raisin
dessinée par Harald Nielsen, signée Georg Jensen et n ° 217B ; une broche de tulipe stylisée en argent portant la marque du fabricant pour
la période 1909-1914 et n ° 100B ; une
broche circulaire ajourée avec deux gros boutons parmi un feuillage, signée Georg Jensen, Danemark Vente Christie's
JENSEN Georg revendu par la maison Mirabaud Paris
Broche/pendentif
en argent à décor d'une pensée centrée d'un cabochon d'améthyste, « 113 »,
entre 1909 et 1914. Poids: 13 g. (Ajout d'une bélière postérieurement).
Un
pilulier danois argenté et un petit peigne, Georg Jensen Silversmithy,
Copenhague, vers 1910.la boîte à pilules circulaire avec fleur ciselée, munie d'un
miroir à l'intérieur du couvercle, le peigne au cas où sertie d'une pierre de
lune. Avec un bidon avec un fleuron ajouré 540, avec la marque d'importation de Londres pour 1929 , 3 pièces .
1910-1912 soupière modèle Melon
En 1912 étant à l 'étroit, il déménage à Knippelsbrogade et ouvre son premier magasin Georg Jensen à
Copenhague (Bredgade 21).Bredgade veut dire Rue Large ou grand rue.
1912 Bol "Louvre"
A
Gand, il reçoit le "Diplôme d'honneur" il engage l'artiste danois Johan Rohde
1914 dans la revue "Art et Décoration. 2 coupes, j ai retrouvé celle de droite en vente récemment dans une salle des ventes française
J ai trouvé cette coupe chez Maitre Millon a Paris qui la décrit ainsi:
Georges JENSEN, Copenhague Coupe en argent ornée de cinq cabochons imitant le corail Poids: 262 gr.
Elle n'est pas datée par maitre Millon , mais nous pouvons la dater grâce à la revue Art et Decoration de 1914
Confiturier Argent et Ambre dans la revue Art et décoration de 1914
1914-06 L'ORFEVRE GEORG JENSEN dans la revue Gil Blas
Nous publions avec plaisir une page de l'étude
que vient de consacrer au grand orfèvre danois Georg Jensen, qui remporta de si
beaux succès au « Salon d'Automne '» et à la Société Nationale, notre érudit
confrère M. Emile Sedeyn. (On sait que Jensen est édité à Paris par les soins
de M. Geo Rouard.) Le travail de M. Sedeyn paraîtra dans Art et décoration :
« Ce qui caractérise l'œuvre de M. Jensen, c'est quelle nous vaut des objets vraiment usuels, qui sont en même temps des pièces
d'art émanant directement de l'artiste, sans intermédiaire des procédés
mécaniques, si nuisibles au charme du modèle le plus réussi.
Orfèvre, M. Jensen se refuse à confier à une
interprétation mercenaire la réalisation de ses modèles; il reprend pour son
compte tes anciens procédés manuels et ces outils simples et rationnels, dont
l'artisan n'est pas esclave, mais le maître. C'est pourquoi ses œuvres si
neuves, si fraîches, si franches de formes et de lignes, possèdent, en outre,
des qualités de grâce et de noblesse que l'on se Résignait peu à peu à ne
trouver réunies que dans les pièces anciennes.
D'autres que M. Jensen, en France et ailleurs,
avaient repris le marteau, le burin, et s'en sont servis avec art, mais aucun
ne l'a fait avec des dons aussi expressifs et en même temps aussi équilibrés. A
l'abondance, qui déjà le distinguait suffisamment de la majorité des
contemporains, l'artiste scandinave ajoute un sens de la forme et du décor qui
n'appartient qu'à lui, et des qualités d'exécution où l'on-je-trouve la verve
et la minutie des vieux maîtres. Il cultive l'amour du métier aussi ardemment
que l'amour de l'art, et c'est par là que sa personnalité, forte et homogène,
s'impose et nous intéresse.
Timbale en Argent
M. Jensen, loin de limiter son effort, comme tant d'autres artisans, à la production des grandes pièces ornementales, a créé un nombre considérable de petits objets usuels, tels que gobelets, salières, cuillers, qui présentent, au point de vue décoratif et technique, le même intérêt que ses œuvres les plus importantes. C'est que tous ces objets sont travaillés par les mêmes procédés simples gui exigent à tout moment la "collaboration intime du cerveau et de l'outil. Entre -la conception et l'exécution existe une parenté qui se révèle dans les détails les plus minimes. Et l'on devine au premier examen "que c'est la connaissance parfaite, mieux que cela, l'amour attentif et réfléchi de la matière, qui dicte ici, pour commencer, ces formes amples et solides, presque toujours inspirées de la flore, ces contours pleins et moelleux auxquels les œuvres de M. Jensen doivent l'essentiel de leur séduction.
En tant que décorateur, M. Jensen n'échappe point, et il convient de l'en louer, aux traditions de son pays. Ce n'est pas en vain qu'il a grandi dans la forêt Scandinave, et qu'il est allé demander plus tard aux exemples de l'art rustique danois la substance de son éducation esthétique. Il est à la fois si sensible et si ingénieux,, si pénétré du sentiment de la nature, en sa force naïve et d'une expression si vibrante, si sincère, en ses formules simplistes, cet art danois !
,Notre orfèvre s'en est assimilé l'esprit plus que les manifestations extérieures ; il nenous en apporte pas les réminiscences, mais plutôt comme une sorte de suggestion raffinée, juste ce qu'il en faut pour accentuer la grâce familière de ces objets à la fois précieux et usuels qu'il se plaît à façonner. »
Emile Sedeyn.
1914 Boite a Thé dans la revue Art et décoration
L'artiste n'était pas complètement inconnu à Paris, où il avait séjourné et
même travaillé comme sculpteur, il y a quelque dix ans. Mais seuls, parmi nous,
avant l'Exposition de Gand (où il devait se révéler d'une manière aussi
brillante qu'inattendue), de rares amis savaient son évolution vers l'art
appliqué et pouvaient parler en admirateurs avertis de ses récents travaux. Art et Décoration 1914
1914 Boite à Thé
Suite: Bien que l'orfèvrerie soit restée à un plan secondaire et très en arrière,
par exemple, du meuble et des étoffes, dans l'évolution présente des arts
appliqués, on ne saurait dire qu'aucun effort ne l'ait enrichie en ces
dernières années. Nous comptons non seulement d'excellents créateurs de
modèles, mais aussi des techniciens pleins de goût et d'ingéniosité. Les uns
alimentent la production industrielle qui, par malheur, cherche plutôt un
renouveau apparent que de réels progrès. Les autres prouvent de temps en temps
que notre époque, aussi bien que celle de Charles X ou le second Empire, sait
produire à l'occasion un surtout compliqué, un service pompeux, tout un vain et
froid étalage de luxe. Entre ces deux branches distinctes de l'orfèvrerie
contemporaine, ce qui distingue l'oeuvre de M. Georg Jensen, c'est qu'elle nous
vaut des objets vraiment usuels qui sont en même temps des pièces d'art,
émanant directement de l'artiste sans l'intermédiaire des procédés mécaniques
si nuisibles au charme et à l'originalité du modèle le plus réussi.
1914 Boite a Thé
Suite : Orfèvre, M. Jensen se refuse à confier à une interprétation mercenaire
la réalisation de ses modèles; il reprend pour son compte les anciens procédés
manuels et ces outils simples et rationnels, dont l'artisan n'est pas l'esclave
mais le maître. C'est pourquoi ses oeuvres si neuves, si fraîches, si franches de formes et de
lignes possèdent, en outre, des qualités de grâce et de noblesse que l'on se
résignait peu à peu à ne trouver réunies que dans les pièces anciennes.
Elles réunissent deux qualités différentes auxquelles un esprit cultivé ne
saurait demeurer insensible : elles sont d'aujourd'hui par le sens pratique et
par la conception; elles sont
de jadis par l'exécution.
* »
Dans l'orfèvrerie comme dans
tous les arts qu'une industrialisation outrancière et maladroite a si gravement
compromis au cours du dix neuvième siècle les tentatives de relèvement
auxquelles nous avons assisté en ces dernières années
1914 Bol à Fruit
D'autres que M. Jensen, en France et ailleurs, ont repris le marteau, le
burin, et s'en sont servi avec art. Mais aucun ne l'a fait avec des dons aussi
expressifs en même temps qu'aussi équilibrés. A l'abondance, qui déjà le
distinguerait suffisamment de la majorité des contemporains, l'artiste
Scandinave ajoute un sens de la forme et du décor qui n'appartient qu'à lui, et
des qualités d'exécution où l'on retrouve la verve et la minutie des vieux maîtres. Je me résume : l'artiste, le
décorateur, le technicien sont en lui égaux et confondus. Il cultive l'amour du
métier aussi ardemment que l'amour de l'art, et c'est par là que sa
personnalité, forte et homogène, s'impose et nous intéresse.
Saupoudreuse
En tant que décorateur, M. Jensen n'échappe point, et il convient de l'en
louer, aux traditions de son pays. Ce n'est pas en vain qu'il a grandi dans la
forêt Scandinave et qu'il est allé demander plus tard aux exemples de l'art
rustique danois la substance de son éducation esthétique. 11 s'en est assimilé
l'esprit plus que les manifestations extérieures, et ne nous en apporte pas des
réminiscences, mais plutôt comme une sorte de suggestion raffinée.
Pour rendre pleine et entière justice à une telle oeuvre, il faudrait avoir
vu l'auteur dans sa laborieuse retraite de Copenhague,
Copenhague, à son établi, devant la feuille d'argent qu'un martelage habile
et minutieux transformera lentement en un sucrier à la panse arrondie, en une
aiguière au galbe spirituel ou bien en quelque bibelot familier : coupe,
liseuse, sébille, etc. M. Jensen façonne aussi des bijoux, et ceux qu'il invente
en associant à l'argent, l'agate, l'onyx, l'ambre et des gemmes aux reflets
adoucis, ne manquent ni de caractère ni d'agrément. Les colliers, les broches,
les bracelets ainsi réalisés sont d'ailleurs proches parents des pièces
d'argenterie ici reproduites.
Si je ne dissimule pas ma préférence pour les dernières, c'est que le fait
d'avoir su ennoblir des objets usuels me paraît un des mérites les plus rares
et les plus louables qui puissent désigner un artiste d'aujourd'hui à l'estime
de ses contemporains.
EMILE SEDEYN,
Une saucière argent massif de Georg Jensen martelée vers 1920
Marqué sur le fond
avec le modèle 43, y compris aussi la cuiller à sauce Georg Jensen dans un
décor "Acorn "vers 1915. La saucière mesure 11 cm
Broche vers 1915 en argent
JENSEN Georg Broche
barrette en argent à décor d'une pomme de pin, « 216A », 1915-1930. Poids: 5 g.Broche coussin en argent à décor
ajouré d'un cervidé couché et d'un écureuil dans des feuilles, « 318 », 1969.
Poids: 23 g. Revendu par la maison Mirabaud Mercier
En 1915, il s’est également attaqué au marché américain après le succès obtenu dans la presse et après que le milliardaire William Randolph Hearst eut acheté l'intégralité de l' exposition Jensen au Pan Pacific durant l'exposition de San Francisco. En raison des évènements le magasin de Berlin a fermé.
Poinçons de Jensen à cette époque
1919 Sucrier en Argent massif
Louche
en argent, modèle «Blossom» créé en 1919 Poids 267 g
1919 Un briquet allume cigare revendu par Bonhams
Vers 1919 diverses saupoudreuses
En 1919 sa banque fait faillite, le temps de trouver de nouveaux investisseurs et à nouveau en 1921 sa nouvelle banque fait aussi faillite , Jensen perd tout.
Broche revendue par Maitre Haynault. En argent
826 millièmes figurant un motif floral et sertie de 3 cabochons de grenat.
Poinçon: G et J superposés, 826 S, GI, n° 29. Travail de Georg Jensen entre
1909 et 1914. -Poids
brut: 9,4 g
Revendue par Sotheby's : Une coupe en argent danoise, Georg
Jensen, Copenhague, 1920 à tige torsadée, la base est décorée de guirlandes de feuilles
de vigne de 19 cm de hauteur, 50,6 g;
Broche-pendentif
en argent représentant une fleur stylisée sertie de labradorites cabochons,
terminé par une goutte en argent Signé.Travail
des années 1920. Hauteur:
31,2 g. revente de Pierre Bergé
Rare
coupe à compote en argent présentant un piètement torsadé agrémenté d'ornements
végétaux et de grappes de fruits en relief et surmonté d'une coupe évasée
martelée.
Poinçons
«Georg Jensen Sterling Denmark» et numérotée. Vers
1920.H: 12,5
cm
Revendue par Maîtres Tessier et Sarrou
Une paire de candélabres danois en argent à deux ampoules, no. 244, conçu par Georg Jensen, Georg Jensen Silversmithy, Copenhague, vers 1921
avec tiges de feuilles et de baies ajourées surmontées de fleurons de baies entrelacés de rubans , marqués sur les bases et les buses, avec marques d'importation anglais pour George Stockwell, Londres, 1921
1930 au salon d 'automne
1930 Dans le journal "Le petit parisien"
1922 revue Art et Décoration
En 1923 Jensen obtient le grand Prix de l exposition de Barcelone, de Bruxelles et de Rio d Janeiro
1925 ce "flambeau" publié dans "Mobilier et Décoration" est a rapprocher de la photo ci-dessous ,
Une
paire de candélabres danois en argent à deux ampoules, no. 244, conçu par
Georg Jensen, Georg Jensen Silversmithy, Copenhague, vers 1921 avec tiges de feuilles et de baies ajourées surmontées de
fleurons de baies entrelacés de rubans.
marqués sur les bases et les
buses, avec marques d'importation anglais pour George Stockwell, Londres, 1921
1925
M. GEORG JENSEN, ORFÈVRE la nouvelle
revue
A
côté des porcelaines et des reliures danoises si justement célèbres,
l'orfèvrerie danoise occupe aujourd'hui la première place, ayant acquis une
excellente réputation sur le marché mondial où elle est recherchée.
Nous
venons d'en avoir la preuve à l'Exposition des Arts décoratifs où l'on peut
admirer au réz-de-chaussée du Grand Palais les superbes modèles exposés par M.
Georg Jensen, argentier, Ragnagade, 7, à Copenhague, et, 239, rue SaintHonoré,
à Paris.
M.
Georg Jensen, né en 1866, à Raavad, où son père travaillait à la coutellerie de
l'endroit, commença par apprendre l'orfèvrerie, mais il se destinait à la
sculpture. C'est, en effet, avec un diplôme de sculpteur qu'il sortit de
l'Ecole des Beaux-Arts en 1892. Exposant ses travaux avec succès, récompensé
d'une médaille d'or de l'Académie, il profita de la bourse entière de voyage
qu'il reçut pour parcourir la France et l'Italie. Il ne visait toujours alors
que la sculpture, et pourtant il était loin de
dédaigner le métier qu'il avait quitté peu d'années auparavant.
En
Italie, à Paris, il avait vu des artistes faire travail d'ouvrier sans pour
cela perdre leur réputation d'artiste empli d'idées nouvelles, il revint au
Danemark et chercha sa voie, d'abord dans la céramique, mais ce fut au
printemps de 1904 que Georg Jensen ouvrit son premier atelier d'orfèvre. Une
nouvelle période de sa carrière s'ouvrait devant lui. Le style Georg Jensen
était né.
Pièce a rapprocher de la photo précédente , revendue par la maison Balclis à Barcelone.
L'orfèvrerie
danoise manquait jusqu'alors d'originalité livrée à l'influence allemande, elle
manquait de grâce, et pêchait par la lourdeur.
Tout
d'abord Georg Jensen trouva sur son chemin des détracteurs. Peu à peu
cependant, on voyait sortir de son petit atelier des bijoux qu'il devint à la
mode de porter. Aux bijoux, s'ajouta bientôt l'argenterie de table fourchettes,
couteaux, cuillers, salières, sucriers, théières, etc. A l'Exposition de
Bruxelles, en 1910, le jury lui décerna la médaille d'or.
De
ce jour-là son succès fut complet en Danemark, comme à l'étranger. On
reconnaissait en lui la liaison intime de l'artiste et de l'artisan. Puis,
Georg Jensen éprouva le besoin de donner au métal des formes plus douces et
plus amples que celles utilisées. Doué d'un sens' très développé pour les
couleurs, il trouva le moyen de rompre la surface bleuâtre et polie de l'argent
par l'emploi d'incrustations de matières tout à fait opposées, comme, par
exemple, l'ambre jaune et le corail rouge.
M.
Georg Jensen ne se contenta pas de renouveler les vieux modèles; il en créa de
nouveaux; et, tout seul, il a su jusqu'à ces dernières années fournir à une
troupe toujours accrue de collaborateurs, les dessins nécessaires.
Sa
réputation a franchi depuis longtemps les frontières du Danemark et dans le «
studio » de février 1920, le distingué critique Gabriel Mourey proclamait ce
remarquable artiste comme l'un des maîtres les plus importants dans son genre
de l'Europe entière.
Après
son succès de Bruxelles, M. Georg Jensen exposa annuellement au Salon de Paris,
il devint membre du Salon d'automne et de l'art décoratif, exposa à Gand, à
Glasgow, à Londres, en Allemagne, à San Francisco.
Le
modeste atelier du début avait fait place à de beaux et clairs
locaux, et le beau magasin de vente du 21 de Bredgade avait été inauguré. Le
personnel de 22 était passé à 50 personnes et depuis 191 C, le peintre Johan
Rohde était attaché à l'entreprise comme dessinateur-collaborateur.
Cette
même année, l'entreprise était transformée en société par actions, et l'on
construisit un immeuble le nombre des ouvriers fut encore doublé.
Les
visiteurs de l'Exposition des Arts décoratifs pourront se rendre compte de la
beauté et de l'originalité des œuvres sorties de cette maison danoise, uniques
en leur genre, et que l'on peut admirer toute l'année dans les magasins de
vente de la succursale de Paris, 239, rue Saint-Honoré.
1925 dans la revue Mobilier et décoration d'intérieur
Les affaires de M. Jensen se sont développées il vendit des actions en 1916, mais dès 1918, alors que la société ouvrait un magasin à Paris, il était devenu actionnaire minoritaire. En 1924, le designer, qui a perdu trois femmes au fil des ans, a également perdu le contrôle artistique de l'entreprise, car la famille de sa troisième épouse, actionnaire, a refusé de travailler avec lui après son quatrième mariage.
1925 fevrier dans Mobilier et Décoration Service à Thé de Georg Jensen
1925 fevrier dans Mobilier et Décoration Casse noix.
1925 février dans Mobilier et Décoration d'intérieur
1925 février dans Mobilier et Décoration d'intérieur
1925 février dans Mobilier et Décoration d'intérieur
1925 février dans Mobilier et Décoration d'intérieur saucière et service à poissons
1925 février soupière dans Mobilier et Décoration d'intérieur
Le Gobelet de mariage de Katharine Hepburn
Motif Cosmos, inversé plus tard, inscription 'Vivien Leigh Laurence Olivier 1940 de Katharine Hepburn' Marque du fabricant de Georg Jensen, numéro de motif: 149 argent
Modèle datant de 1904 Fabriqué entre 1925-1932.
Le 31 août 1940, Vivien et Larry se sont mariés au ranch San Ysidro de Santa Barbara, en Californie, lors d'une cérémonie à laquelle seuls leurs hôtes, Ronald et Benita Colman et des témoins, Katharine Hepburn et Garson Kanin, assistaient. Katharine Hepburn (1907-2003) et Vivien étaient des amis proches des autres artistes, même s'ils étaient régulièrement en compétition pour des rôles, en particulier pour Gone with the Wind . Comme disait Katharine: 'Que dire ... Vivien, chère Vivien, actrice exquise, réfléchie, sans peur, gracieuse et extrêmement gentille ... un charmant petit nuage rose flottant dans la vie de tous ses amis, planant au-dessus du soleil couchant, et penser à tout le monde sauf elle-même.
Il est intéressant de noter que Katharine Hepburn avait reçu une bouilloire en argent Georg Jensen à l’occasion de son propre mariage en 1928 (voir Collection Katherine Hepburn , Sotheby's New York, 10 et 11 juin 2004, lot 15).
Pièce
maîtresse de forme ovale avec motif de vigne en argent danois 296B et
paire de tazze no. 263A, tous deux conçus par Georg Jensen, Georg Jensen
Silversmithy, Copenhague, 1925-1932
1926 dans la revue Vogue
1926: "certaines des œuvres les plus louées et les plus
inspirées de Georg Jensens sont créées à Paris. Le jour de son anniversaire, il
est célébré comme le plus grand orfèvre du siècle. Le magasin à Berlin rouvre.
L'ingénieur P. A. Pedersen, directeur général de la forge d'argent de Georg
Jensen, propose à Georg Jensen le poste de responsable artistique de la forge
d'argent. La collaboration est rétablie. Georg Jensen se déplace à Copenhague."
1926 dans la revue "Vogue"
Service à dessert, en argent, modèle "pyramide" (modèle n°15). Manche droit à trois paliers en culot, terminé par une boule, composé de quarante quatre pièces, soit douze couverts à dessert, douze couteaux manches argent lames acier et huit pièces de services/(dont quatre en argent, trois en corne manches argent et un couteau à fromage lame acier, manche argent). Circa 1927 (date du dépôt de brevet pour ce modèle n°15, dessiné par Harald Nielsen). Par Georg Jensen orfèvre à Copenhague (signé et poinçonné). Poids des pièces pesable: 1,260 kg Georg Arthur JENSEN
1928 revue des beaux arts
1928 dans la revue du vrai et du beau
Voici une belle exposition encore, de Georg
Jensen, de Copenhague, à la Walker Art Gallery de Liverpool.
Il est bien difficile de décrire
les objets exposés. Il faut les voir ou du moins en voir des reproductions,
telles que nous en avons publié une si intéressante série, en décembre 1925.
Quelles belles orfèvreries, on s'en souvient :
une saucière qui paraissait une aiguière, dans ses lignes simples et aux
courbes délicates ; un dessous de bouteille où de lourdes grappes
s'enguirlandent ; une jardinière, ventrue, volontairement lourde, dans la
richesse de sa forme rebondie ; des gobelets rares, une pièce d'orfèvrerie d'un
art sobre, etc.
Cette année il expose : Une bague argent et malachite une bague argent et labradorite Une bague argent et onyx Une bague avec un grenat une broche argent ambre et onyx ,un pendentif corail , un bol a marmelade en argent, une cuillère a sucre , un couteau pour fruit, Georg Jensen cup, Sugar spoon, Fruit Knile, une louche pour la crème et une pour les sauces, etc.
Comme ceux exposés et décrits, en 1925, ces
objets sont des merveilles d'art appliqué.
Ils concourent au grand luxe de la table, par
leur richesse, mais plus encore par le goût qui a présidé à leur dessin, par
l'art de leur exécution.
Ils n'écrasent pas ce qui les avoisine, ils
l'éclairent de leur rayonnement et l'harmonisent à leur beauté.
La place me manque pour m'étendre davantage, mais
je veux encore signaler le très bel envoi de Georg Jensen à la Society of
Scottish Artists d'Edinburgh où il fut extrêmement remarqué et goûté.
Avec cet artiste, c'est toujours de l'inédit,
jamais de copies avouées ou tacitement admises ; des créations qui portent
toutes le cachet, si personnel, de cet artiste et font reconnaître une
orfèvrerie de Georg Jensen, au milieu de toutes les autres.
1929 dans la revue "La renaissance de l'art"
1929 un casse noix dans la revue Mobilier et décoration
1930 dans le journal "Le Matin"
1930 octobre dans le "Petit Parisien"
1931 dans le catalogue du 21 eme salon des artistes décorateurs
Deux
pichets danois en argent assortis no. 432A, conçu par Johan Rohde, Georg
Jensen Silversmithy, Copenhague, 1925-1932 et 1945-1977
Depuis 1925, Georg était en conflit avec son directeur de société (P.A. Pedersen ) suite aux problemes économiques de la société
Georg Jensen va désormais se concentrer sur ses créations
Décembre 1932 dans la Revue "Vogue"
Un ensemble de couverts à poissons danois en argent, conçu par Georg Jensen (1866-1935)
MARQUE DE GEORG JENSEN, COPENHAGUE, FOURCHES ET
COUTEAUX MAJORITAIRES 1933-1944, RESTANT 1945-1977
comprenant; douze fourchettes à poisson,
douze couteaux à poisson et une paire de pelles à poisson, les poignées en
forme de poisson et de carapace entrelacées; ainsi que douze pics à
homard, les manches à homard enlacés,
les pelles à
poisson de 25,2 et 27,2 cm de long (38)
Une collection de douze bijoux en argent
Comprenant: une broche ovalopenwork avec un décor
de vigne en fruits, période 1933-1944,
marque le numéro de motif 177A ; une autre broche plus petite
avec un cabochon ovale ambre et quatre cabochons en agate verte, 1915-30 marque le numéro de motif 93 ; un
pendentif en forme de croix avec des cabochons roses sur une chaîne, période 1915-1927, marque le numéro de motif 29 ; bracelet, poinçons d'époque 1933-1944, numéro de modèle 11 ; un
gros bouton avec des cabochons en agate verte et cinq boutons plus
petits; et une paire de clips d'oreille, marques d'époque pour 1915-1930 . (12)
Cliché de Knudstrup-Andersen
Le 2 octobre 1935 Georg Jensen meurt subitement
1937 à l exposition universelle
Chefs d'oeuvre de l'argenterie moderne
danoise fevrier 1937 dans la revue mensuelle Foyer-Magazine
Quelle, n'est pas votre surprise, lorsque
vous vous promenez dans le cœur animé de Copenhague, enfilade de rues
commerçantes ,qui pourraient se comparer en plus petit à nos grands boulevards
parisiens et que les danois appellent avec humour « le repassage », quelle
n'est pas votre surprise de, rencontrer sans cesse de superbes magasins
d'argenterie.
Avez-vous remarqué rue de Rennes à Paris
(et d'ailleurs un peu partout dans notre capitale) le nombre étonnant de
magasins de chaussures ? Copenhague est à l'argenterie ce que Paris et aux
souliers.
Qu'est-ce à dire ?
1937 dans Foyer Magazine
Suite: Nous avons donc tenu à visiter, pendant
notre séjour dans ce pays hospitalier, un des ateliers les plus réputés, non
seulement en Scandinavie, mais dans le monde entier, puisque Paris, Londres et
New-York s'honorent d'exposer ses chefs d'oeuvres ; cet atelier est celui de
Georg Jensen. On y travaille très peu à la machine ; toutes les belles, pièces
sortent des mains d'artistes, tels que Georg Jensen lui- même, Johan Rohde,
Harald Nielsen, G. Albertus, pour ne citer que les plus-connus. Vous ignorez
peut-être que le seul martelage d'une feuille d'argent, pour lui donner
l'arrondi d'une saucière, prend une journée entière, tandis que certaines
pièces demandent quinze jours de travail ? Il faut voir ces ouvriers d'art,
tenant en main des marteaux dont les formes sont adaptées à toutes les
courbures, tapant l'argent à petits coups légers, répétés inlassablement
jusqu'à ce que la ligne impeccable, la courbe gracieuse et pure soient enfin
obtenues. Je n'ai jamais vu tant de marteaux et tous différents ; on ne les
trouve pas dans le commerce, l'usine doit les fabriquer elle-même pour ses
propres besoins.
Suite: Tout ici est l'opposé du travail en série ; chaque objet créé
ne ressemble pas à son frère, pas plus que la main d'un ouvrier ne ressemble à
celle du voisin, et que le marteau ne ressemble aux autres. Les seuls ateliers
de Jensen possèdent pour environ cinq millions de francs de moules matrices,
tant est grande la variété des modèles.
Mon étonnement fut à son comble, lors
qu'on me présenta les catalogues albums, surtout les collections de cuillères
et de fourchettes pour les services de table. Savez-vous qu'il existe 135
pièces différentes pour une personne ? Ainsi, s'il vous prenait la fantaisie de
posséder un service absolument complet pour douze convives, et je ne parle pas
des pièces centrales, il faudrait, comme cuillères, fourchettes et couteaux,
1620 articles. La table ainsi garnie serait somptueuse, mais il n'y aurait plus
de place pour la vaisselle. Inutile d'ajouter que les rois eux-mêmes ne
possèdent pas de collections aussi complètes. Ces modèles si variés
correspondent aux goûts différents des peuples, beaucoup plus qu'à une
adaptation rigoureuse aux besoins.
1937 dans Foyer Magazine
Suite : Cette restriction faite, il n'en demeure
pas moins que les demeures danoises, aristocratiques, bourgeoises, ou même
populaires, sont généralement bien mieux fournies en argenterie que les maisons
françaises de classe correspondante. J'ai remarqué notamment, au cours de mes visites scolaires, même dans les internats d'écoles
ménagères, que les jeunes pensionnaires possédaient fréquemment des services de
toilette en argent (miroirs, brosses (et peigne) ; ce ne sont pas toujours des
pièces en argent massif (en sterling comme on dit là-bas, pour le titre de 925
grammes), ni des pièces faites entièrement à la main et portant la mention «
handmade » ; néanmoins, les ensembles sont souvent de bon goût ; ils apportent
dans les intérieurs une note agréable de gaie lumière.
1937 dans Foyer Magazine
fin: Je me souviens de tables familiales
journalières, toujours richement ornées de cette belle matière, sucrier, plats
à hors-d’oeuvres, théières et cafetières de belle tenue, mais, plus que de
tout, je me souviens de ces vases simples et beaux, toujours garnis de fleurs
fraîches et rustiques, œuvres sobres de l'artiste Harald Xielsen et de ces pots
d'un galbe si pur créés par Johan Rühde que le Musée des Arts Décoratifs de
Copenhague II jugés dignes de ses vitrines. Dans leur élégance idéale, que
n'altère aucun ornement. ces modernes jarres d'argent égalent les vases grecs, conservés pieusement depuis l'antiquité, pour
leur beauté par-laite.
Paulette BERNÈGE.
1937 dans Art et Décoration
Je me suis arrêté pour mon article, à la mort de Georg Jensen le fondateur, après la société a continué en embauchant divers créateurs qui ont gardé l esprit du créateur mais ce n 'est plus Georg!!
Apres la mort de Georg Jensen la société continua avec de nouveaux designers dont Harald Nielsen pour la société Georg Jensen créateur de cette bague.
Le diamant taillé en brillant serti en tension à une bande polie, diamant env. 0,35 ct, poinçon de maître, numérotée
Harald Nielsen était le frère cadet de Johanne la troisième épouse de Georg Jensen
Harald Nielsen était le frère cadet de Johanne la troisième épouse de Georg Jensen
En 1975, La société a été acheté par The Royal Porcelain Factory en 1985 pour faire partie du groupe Royal Copenhagen , plus tard en Royal Scandinavia . À partir de 2012, il a été vendu au fonds d'investissement basé à Bahreïn, Investcorp.
Un commentaire? vous pouvez le faire juste apres cet article, ou m adresser un mail à richard.jeanjacques@gmail.com
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