jeudi 23 octobre 2025

Une bague probablement d'origine Japonaise


Une Lectrice fidèle me pose une question difficile qui en cache d'autres.

Bonjour Jean-Jacques, 
Je vois que vous avez bon pied bon œil à travers vos publications.Bravo à vous! Une amie me demande ce que je pense d’une bague qu’elle a achetée par internet. Je ne connais pas les poinçons… est-ce que vous pouvez m’aider? Pour moi, cette bague vient de l’étranger mais quel pays? 
Je vous envoie 3 photos pour avis.
Un grand merci d’avance!
Amicalement,
Odile 


Le “303” est très probablement un numéro de modèle / référence interne, typique de la fabrication japonaise (atelier OEM).
Le poinçon du milieu, en forme de symbole proche d’un “∞”, d’un “8 couchés” ou d’un “B lié”, est un poinçon de maître.
Cela correspond au style des ateliers japonais qui fabriquaient pour : Mikimoto, Tasaki, Niwaka, K.uno, etc. …mais aussi des ateliers OEM qui fournissaient l’Europe et les USA




SAITO 
Grand atelier japonais de platine, très actif 1975–1995, 
Il existe aussi Nagahori, qui utilisait un symbole proche, mais : celui de Nagahori est plus aplati
le vôtre est plus lisse et arrondi → signature typique Saito
Plus de 80-90% de probabilité sur l’atelier Saito.

Est que c'est du platine
Oui, mais a un titre plus bas qu'en France et Europe, les pays asiatiques fabriquent du platine à 850/1000°

Que signifie  OEM
OEM signifie fabricant d'équipement d'origine. En d'autres termes, les propriétaires de marques utilisent la technologie de base pour mener à bien la conception et le développement, et contrôler les canaux de vente. Ils coopèrent avec d'autres entreprises pour les aider à achever la production. Les usines se concentrent sur la fabrication sans participer à la conception.



dimanche 19 octobre 2025

Le HOPE , le diamant du Roi Soleil, porte-il malheur ? Selon la légende



L’histoire commence en Inde, au XVIIᵉ siècle, dans la légendaire mine de Golconde, près d’Hyderabad source des plus beaux diamants du monde.

En 1668, le marchand français Jean-Baptiste Tavernier acquiert en Inde une pierre extraordinaire : un diamant bleu en forme de cœur d’environ 112 carats, qu’il nomme le « Diamant bleu de Tavernier ». Il le rapporte en France avec d’autres gemmes précieuses, et la pierre attire rapidement l’attention de Louis XIV.


 Planche des vingt diamants que Tavernier vendit à Louis XIV en 1669

Le roi achète le diamant en 1669 pour 900 000 livres et le fait retailler par son joaillier Jean Pitau. La gemme devient alors le célèbre « Bleu de France », de 67,1 carats, montée sur un ruban que le monarque porte lors de grandes cérémonies. Elle possède une couleur bleu-saphir admirable.

La rumeur veut déjà qu’elle ait porté malheur à Tavernier : son commerce l’avait enrichi, mais peu après son retour, il perdit sa fortune. Âgé, il repartit en Perse en 1687 en voulant emprunter pour la première fois la route du nord, puis la Russie. On raconta, souvent à tort,qu’il fut dévoré par des bêtes sauvages. En réalité, il mourut en 1689, emporté par une fièvre près de Moscou, où il fut enterré dans un cimetière protestant. C’est de là que commence la légende du diamant qui porte malheur.


Louis XIV ne conserva pas toujours le joyau pour lui : il l’offrit un temps à Madame de Montespan. Peu après, celle-ci perdit les faveurs du roi. Le souverain fit ensuite remonter la pierre dans un chaton qu’il portait au-dessus de son jabot.


Sous Louis XV, en 1749, le diamant orne l’insigne de la Toison d’Or. Le roi le porte durant son règne, sans que l’on rapporte de véritables drames liés à sa possession. Sous Louis XVI et Marie-Antoinette, il demeure dans le Trésor de la Couronne.


La reine finit néanmoins par le faire détacher du Trésor, pour le porter elle-même. La princesse de Lamballe, grande amie de Marie-Antoinette, le lui emprunte parfois à son tour. Toutes deux périssent tragiquement pendant la Révolution. la Reine sur l’échafaud, la princesse massacrée par la foule.


On arracha tout, et robe, et chemise, et nue, elle fut étalée au coin d’une borne, à l’entrée de la rue Saint-Antoine.

Selon diverses sources, le diamant bleu est transporté d’abord à Rouen, puis jusqu’à Londres. Certains auteurs, notamment le joaillier anglais E. W. Streeter, avancent qu’il aurait été retaillé en trois pierres : un coussin de 44,5 carats (le futur Hope), une poire de 6,5 carats (dite « Brunswick Bleu II ») et une pierre plus petite, dite « Pirie », aujourd’hui disparue. Cette version reste toutefois discutée.

En 1792, l'assemblée décida de vendre les diamants de la couronne de France et les joyaux furent transportés au Garde-Meuble National rue Saint-Florentin
Mais dans la nuit du 16-au 17 septembre, des voleurs pénétrèrent avec des échelles de corde dans la salle du premier étage ou les joyaux étaient enfermés une fois les armoires fortes crochetées
le “Bleu de France” est volé.  
C'est un recéleur nommé Cadet Guillot qui l'emporte à Rouen, puis de Rouen en Angleterre, à Londres. Selon diverses sources, il est transporté d’abord à Rouen, puis jusqu’à Londres. 
Certains auteurs, particulièrement le joaillier anglais E. W. Streeter, avancent qu’il aurait été retaillé en trois pierres : un coussin de 44,5 carats (le futur Hope), une poire de 6,5 carats (dite " Brunswick Bleu II " et une pierre plus petite, dite « Pirie », aujourd’hui disparue. Cette version reste cependant discutée.

Le diamant réapparaît environ vingt ans plus tard, à Londres, sous une nouvelle forme de 45,52 carats. Il transite ensuite entre plusieurs intermédiaires. On le retrouve alors chez un diamantaire d’Amsterdam, qui l’achète pour le retailler. Ce négociant, nommé Fals a un fils, une crapule, qui vole à son père les plus belles pièces de sa collection et s'enfuit.
Son père Mr Fals meurt de chagrin; et le fils, traqué par la police, va se suicider.

 L’un des intermédiaires, Francis Beaulieu, tombe gravement malade avant d’être payé. Comment un certain Beaulieu se retrouva possesseur du diamant ?  
 En tout cas Beaulieu l'avait vendu à Eliason,    Lorsque Eliason alla payer la somme, Beaulieu était mort et l'argent ne changea jamais de mains. Eliason se suicida quelques mois plus tard,  mais avant cela, il vendit le diamant (vers 1830) à Thomas Hope de Deepdene , dans le Surrey, membre excentrique d'une importante famille de banquiers qui lui donne son nom, Thomas Hope meurt en 1831
 Il semblerait que les joailliers londoniens Eliason et Françillon aient servi de prête-nom pour dissimuler l'origine effective du diamant, et donc qu'il s'agissait d'un recel.


Henry Francis Hope Pelham-Clinton

Le fils aîné de Thomas Hope, Henry Thomas Hope (1807-1862), en hérite : la pierre est exposée à Londres en 1851 durant la Grande Exposition, puis à Paris, durant l'exposition de 1855. En 1861, sa fille adoptive Henrietta, seule héritière, se marie avec un certain Henry Pelham-Clinton (1834-1879) déjà père d'un garçon : mais Henrietta craint que son beau-fils ne dilapide la fortune familiale, aussi, elle forme un « trustee » et transmet la pierre à son propre petit-fils, Henry Francis Hope Pelham-Clinton (1866-1941). Il en hérite en 1887 sous la forme d'une assurance-vie ; il ne peut ainsi se séparer de la pierre qu'avec l'autorisation du tribunal et du board of trustee. Henry Francis vit au-dessus de ses moyens et cause en partie la banqueroute de sa famille en 1897. Sa femme, l'actrice May Yohé, subvient seule à leurs besoins. Le temps que le tribunal l'autorise à vendre la pierre afin de l'aider à régler ses dettes, en 1901, May est partie avec un autre homme pour les États-Unis. 
Henry Francis Hope Pelham-Clinton revend la pierre en 1902 au bijoutier londonien Adolphe Weil qui la revend au courtier américain Simon Frankel pour 250 000 dollars.

May Yoké

 (le divorce fut prononcé en 1902). Peut-être la maléfique légende date-t-elle de ce moment. May Yoke écrivit souvent à Mrs McLean d'avoir ruiné sa vie, et de lui demander de le jeter afin de faire cesser ces maléfices.



le Hope acquis en 1901 par Simon Franckel, joaillier de New York, pour 141 032 dollars, fut revendu en 1908 pour 400 000 dollars à M. Habib, collectionneur espagnol habitant à Paris,


Paquebot "La Seyne"


Mr Habib part pour un voyage en extrême orient sur le Streamer La SEYNE des messageries maritimes qui fit Naufrage le 14 novembre 1909 à 30 miles de Singapour par abordage avec le vapeur ONDA de la British India. On comptera 101 morts, dont le baron et la baronne Deniczki et le commandant Joseph Couailhac. Sur les 61 rescapés, de nombreux sont gravement blessés par les requins venus attaquer les naufragés et responsables du grand nombre de disparus


M. Habib, marchand et collectionneur turc, fut parmi les victimes et on crut que le diamant fatal avait disparu avec lui. Des recherches furent faites ; on retrouva le coffre-fort du navire, mais il ne contenait pas de pierres fines. La pierre fatale, en effet, était restée en France, lequel dut s'en dessaisir en 1909 près du négociant parisien Roseneau.


Ce négociant le céda presque immédiatement à Pierre Cartier, lequel le vendit en 1911 pour 900 000 francs-or à la riche héritière américaine Mrs Evelyn Walsh McLean qui le porta jusqu'à sa mort en 1947. Elle disait que ce diamant ne lui faisait pas ressentir de malédiction, mais préférait "que ses amis et ses enfants ne le touchent pas".


Pierre Cartier

Evelyn MacLean le porte souvent — même pour promener son chien !  Mais sa vie est marquée par de nombreux drames : la mort de son fils, puis de son mari.
 le fils des McLean se donne la mort dans un accident de voiture et la sœur décède des suites d’une overdose de drogue. Quant au couple, la femme, Evalyn, décède à l’âge de 60 ans d’une raison qu’on ignore encore tandis que son mari, Ned, termine ses jours dans un asile où il meurt en 1947.


Harry Winston

Il fut vendu pour payer ses dettes avec tous ses joyaux , pour un million de dollars en avril 1949 au joaillier américain Harry Winston, de New York, qui l'offrit en 1958 à la Smithsonian Institution de Washington, l’expédiant par la poste dans une simple enveloppe assurée.

Depuis lors, le Hope est exposé au Musée national d’histoire naturelle, où il attire des millions de visiteurs chaque année. Il est aujourd’hui estimé à plus de 200 millions de dollars.

 

Les scientifiques ont établi que sa couleur bleue provient de traces de bore dans sa structure cristalline. Exposé aux ultraviolets, il émet une phosphorescence rouge orangé, phénomène inhabituel qui contribue encore à son mystère.


Abdul Hamid II

D'autres faits ont été rapportés telle l'abdication forcée du sultan turc Abdul Hamid II qui aurait tué divers membres de sa cour pour la pierre  Même les bijoutiers qui auraient manipulé le diamant Hope n'ont pas été épargnés par sa malveillance présumée : la folie et le suicide de Jacques Colot, qui l'aurait acheté à Eliason, et la ruine financière du bijoutier Simon Frankel, qui l'aurait acheté à la famille Hope, étaient liés à la pierre. Mais bien qu'il soit documenté comme un diamantaire français de la bonne époque, Colot n'a aucun lien enregistré avec la pierre, et les malheurs de Frankel se sont produits au milieu de difficultés économiques qui ont également ruiné beaucoup de ses pairs.

La légende inclut  François Beaulieu, qui reçut la pierre d'Hendrik mais mourut de faim après l'avoir vendue à Eliason.


Un prince russe nommé Kanitowski, qui la prêta à l'actrice française Lorens Ladue et la tua aussitôt sur scène, et fut lui-même poignardé à mort par des révolutionnaires ; Simon Montharides, précipité dans un précipice avec sa famille. Cependant, l'existence de seulement quelques-uns de ces personnages a été vérifiée historiquement, ce qui conduit les chercheurs à conclure que la plupart de ces personnes sont fictive.



Aujourd’hui, le diamant bleu Hope est bien plus qu’un joyau : c’est un symbole.
Celui d’un monde où la beauté et la fatalité se confondent, où la lumière la plus pure naît souvent de la part la plus obscure du destin.
De l’Inde des maharajas aux vitrines du musée de Washington, il a connu les rois, les révolutions et les ruines, sans jamais perdre son éclat.
Le Hope fascine toujours parce qu’il raconte l’éternelle histoire du pouvoir et du mystère.
Celle d’un diamant qui, au-delà de toutes les superstitions, semble vouloir nous rappeler une seule vérité. :
rien n’éclaire davantage le monde que ce qui a traversé l’ombre.

En réalité, beaucoup de ces récits sont inventés par la presse et les bijoutiers (notamment Pierre Cartier, qui sut habilement entretenir la légende pour mieux le vendre !).
 
Caractéristiques
Poids actuel : 45,52 carats
Couleur : bleu gris profond (Fancy Deep Blue)
Pureté : VS1
Origine : Inde (mine de Kollur, Golconde)
Particularité : phosphorescence rouge orangé après exposition à la lumière ultraviolette — un phénomène rare qui contribue à son mystère.


vendredi 3 octobre 2025

Georgette Agutte(s), une grande artiste qui dessina des bijoux


Dans la profession, qui ne connait Philippine Dupré La Tour, de la société de ventes aux enchères Aguttes 164 B avenue Charles de Gaulle à Neuilly sur Seine? Ses ventes de joaillerie sont remarquées. 
Mais j'ai découvert une autre Agutte qui créa des bijoux entre 1895 et 1905.
Peu de choses sur elle, en matière de bijoux, mais qui sait? Peut être mes lecteurs découvriront ou se rémémoreront  d'autres bijoux de cette artiste?


Georgette Agutte, dite aussi Georgette Agutte-Sembat, née le 17-05-1867 est une artiste peintre, sculptrice et collectionneuse d'art française
Mais quel rapport avec  la maison de vente aux enchères Aguttes, apparemment aucun? Mais !!!!


Lorsqu'elle est née , son père artiste AGUTTES (Jean-Georges), s'écrivait avec un S , peintre au XIXe siécle, né à Paris,I1 fut eleve de Barrias et de Corot. En 1863 et 1865, il expose des paysages, pour la plupart des vues de Chantilly et de ses environs. 
Malheureusement son père est décédé accidentellement avant sa naissance le 7 janvier 1867.

Pourquoi ne garde t elle pas le "S" des Aguttes? 


Sa mère se remarie avec Pierre-Nicolas Hervieu, négociant en métaux à Paris
Elle apprend la sculpture auprès de Jean-Louis-Désiré Schrœder et expose au Salon des artistes français en 1887.
Elle fait connaissance du critique Paul Flat qu'elle va épouser en 1888 et grâce à lui, elle rencontrera vers 1893 René Piot  élève de Gustave Moreau qui va lui conseiller de suivre les cours de Moreau à l'école des Beaux Arts de Paris. Elle y fera connaissance de Henri Matisse et Georges Rouault.
 D'abord influencée par le post-impressionnisme, la peinture de Georgette Agutte évolue ensuite vers un fauvisme modéré.

Plaque de collier Glycine, diamants et or émaillé ; pendentif avec figurine, opale, or émaillé et diamant ; bague Pavots, or émaillé ; pendentif Fécondité, or émaillé et perles ; et pendentif Mimosa, ivoire, or et perles. auraient été  Publié en 1901


En 1902 elle expose cette oeuvre "La Source"  conservée au Musée de Grenoble. et produira de nombreuses sculptures

Dès 1904, Georgette Agutte abandonne le Salon des artistes français au profit du Salon d’automne où exposent, comme elle, beaucoup d’anciens élèves de Gustave Moreau. À partir de 1909, elle en devient même sociétaire. Elle expose également au Salon des indépendants, dont la charge revient principalement à Paul Signac.
C'est à ce salon qu'elle expose ces bijoux qui suivent.


Des bijoux très figuratifs



Un peigne 



Dans le livre d'Alastair Duncan


Agutte

L'esprit de ce bijou de Georgette Agutte est très proche de celui ci dessous fabriqué par Louis Aucoc


Aucoc

Et comme je n'ai pas trouvé qui était le Fabricant de G.Agutte, qui sait?

En 1897, elle épouse en seconde noce Marcel Sembat (1862-1922), homme politique, député socialiste du 18e arrondissement de Paris (1893-1922), ministre des Travaux Publics (1914-1916), mais aussi mécène et ami des artistes d'avant-garde. Son discours du 3 décembre 1912, à l'Assemblée Nationale, en faveur de l'art moderne, et plus particulièrement du cubisme, est resté célèbre.



le 5 septembre 1922, Marcel succombe à une hémorragie cérébrale dans leur chalet de Chamonix. Georgette est si désépérée  qu' elle se suicide en laissant une lettre Pathetique
 « Ma vie est terminée avec lui. Par lui j’avais le bonheur, je l’ai eu amplement, je n’ai pas à me plaindre, mais sans lui la lumière est morte. Adieu. Voilà douze heures qu’il est parti. Je suis en retard. »

 

En vingt-cinq ans de carrière, elle produit environ huit cents œuvres 


Georgette Agutte, a légué au musée de Grenoble une importante collection de peintures modernes (oeuvres de Derain, Matisse, Marquet, Rouault, Signac).



Portrait de son grand amour Marcel Sembat


Si vous avez d'autres informations sur des bijoux créés par Georgette Agutte je suis preneur , m'écrire à 
richard.jeanjacques@gmail.com

lundi 29 septembre 2025

Publicité des années 1925 : On apprend beaucoup de ces réclames.

 

Ceux qui deviendraient des "Grands" joailliers  commençaient a se lancer dans la publicité , mais les autres de la bijouterie Joaillerie Orfèvrerie, quelles publicités produisaient ils, quels articles mettaient ils en avant pour le consommateur moyen, rien a voir avec ce qu'on retient des merveilles de cette époque.


Souvent ces publicité de fabricants indiquaient  leur poinçon, utile de nos jours




1924, j espere qu'une de ces médailles sera retrouvée de nos jours




Les journaux professionnels HBJO   faisaient souvent la publicité de ces postes de radio en vente chez les bijoutiers


Atmos n'était pas encore  "Cédé" à Jaeger Le Coultre



Des maisons importantes ont disparue après le Krack de 1930


Mauboussin Successeur de Noury
https://www.richardjeanjacques.com/2018/02/mauboussin-l-agriculture-mene-tout-meme.html


Cette excellent maison qui fabriquait de très belles montres étanches automatiques avec un boitier d une seule pièce  et ouverture par la glace: j'en ai possédé deux.


Les bijoux en poils d'éléphant n'étaient pas interdits


Cette maison fabriqua de très beaux étuis à cigarettes



A t on trouvé le secret de Célor?


Ah!! cette belle maison Sasportas, j ai fait un article sur lui


Lumineux et très bruyants

Plus tard : une pub radio ORIA vers 1935, dans "Oria, Or il y a "



Un Hygromètre qui tournait et était vendu par les bijoutiers


Dans ces années 1920-1930 les revues de bijouteries  vantaient les mérites des machines a coudre vendues chez le HBJO



Eugene Vinot-Barmont qui s'attribua un "De" :  Médaille de Bronze en 1936


L' industrielle Bijoutière 


Monsieur Lipmann qui a vendu plus de dix millions de montres, mais qui n'a pas supporté la concurrence de la montre à quartz


Bulle Clock


Il s'en fabriqua de splendides, Le bouchon de radiateur, ou mascotte, est une forme de bouchon de radiateurs automobile à mascotte artistique, emblématique, allégorique, décorative ou porte-bonheur, de certaines marques de prestige de l'histoire de l'automobile, à l'image des figures de proue de navire. Depuis la disparition des radiateurs apparents, il est placé sur le capot, au-dessus de l'emplacement supposé du radiateur.


Les montres Israel


Georges Mayer, marque Utinam qui deviendra plus tard  UTI


Les réveils Junghans, si utiles avant le réveil électrique puis numérique


C'était chouette de voir l heure la nuit sans allumer la lumière. De nombreuses montres  utilisaient des matériaux comme le radium et le tritium pour leurs cadrans lumineux. Certaines marques de montres très prisées ont utilisé ces matériaux, et tu serais surpris d'apprendre lesquelles et pourquoi.
Le radium était autrefois populaire pour son éclat lumineux, mais on sait aujourd'hui qu'il est dangereux. car hautement radio-actif.


Que d'objets disparus




Chopard Frères


Cela écrasait les bas des corps de bague!! 


Cette maison dura plus de 120 ans


Bulle-Clock, très belle maison, voir: https://www.horlogesdautrefois.fr/article/10




Dumont et Cie , belle saga de Joailliers:


Les crapauds dans les diamants, l expression d'une époque, heureusement révolue


En octobre 1922, Bourgeois et Nappey obtiennent l'exclusivité pour la France d'un nouvel alliage imitant l'or (l'Oréum), de la société Marret-Bonnin-Lebel, la seule à fabriquer le bronze V.B.F. Le matériau, difficile à travailler, sera abandonné en 1928.


Dinard avait fermé et le slogan était simple
    les plus beaux bijoux sortent de chez Van Cleef et Arpels


Une bague probablement d'origine Japonaise

Une Lectrice fidèle me pose une question difficile qui en cache d'autres. Bonjour Jean-Jacques,  Je vois que vous avez bon pied bon œil ...